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Je donne ; il en prend six, et demande à refaire : Comment
Ma sœur, je vous demande un généreux pardon, Comment
Mais pour le secourir, qu'est-ce qu'il me demande ? Question
Mais pour le secourir, qu'est-ce qu'il me demande ? Question
Il ne pourra jamais refuser ma demande. Comment
On n'attend pas même qu'on en demande, et l'on court au-devant du souhait des gens, tant il est vrai que le tabac inspire des sentiments d'honneur et de vertu à tous ceux qui en prennent : Mais c'est assez de cette matière ; reprenons notre discours. Comment
tu veux qu'on se lie à demeurer au premier objet qui nous prend, qu'on renonce au monde pour lui, et qu'on n'ait plus d'yeux pour personne ; la belle chose de vouloir se piquer d'un faux honneur, d'être fidèle, de s'ensevelir pour toujours dans une passion, et d'être mort dès sa jeunesse pour toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux ; non non, la constance n'est bonne que pour des ridicules : toutes les belles ont droit de nous charmer, et l'avantage d'être rencontrée la première, ne doit point dérober aux autres les justes prétentions qu'elles ont toutes sur nos cœurs ; pour moi, la beauté me ravit partout où je la trouve, et je cède facilement à cette douce violence où elle nous entraine ; J'ai beau être engagé, l'amour que j'ai pour une belle n'engage point mon âme à faire une injustice aux autres ; Je conserve des yeux pour voir le mérite de toutes, et je rends à chacune les hommages et les tributs où la nature nous oblige ; quoi qu'il en soit je ne puis refuser mon cœur à tout ce que je vois d'aimable, et dès qu'un beau visage me le demande, si j'en avais dix mille, je les donnerais tous : les inclinations naissantes après tout ont des charmes inexplicables, et tout le plaisir de l'amour est dans le changement : on goûte une douceur extrême à réduire, par cent hommages, le cœur d'une jeune beauté, à voir de jour en jour les petits progrès qu'on fait, à combattre par des transports, par des larmes et des soupirs, l'innocente pudeur d'une âme qui a peine à rendre les armes, à forcer pied à pied toutes les petites résistances qu'elle nous oppose, à vaincre les scrupules dont elle se fait un honneur, et à la mener doucement où nous avons envie de la faire venir ; mais lorsqu'on est maître une fois, il n'y a plus rien à dire ni rien à souhaiter, tout le beau de la passion est fini, et nous nous endormons dans la tranquillité d'un tel amour, si quelque objet nouveau ne vient réveiller nos désirs, et présenter à notre cœur les charmes attrayants d'une conquête à faire ; enfin il n'est rien de si doux que de triompher de la résistance d'une belle personne, et j'ai sur ce sujet l'ambition des conquérants qui volent perpétuellement de victoire en victoire, et ne peuvent point se résoudre à borner leurs souhaits ; il n'est rien qui puisse arrêter l'impétuosité de mes désirs, je me sens porté à aimer toute la terre, et comme Alexandre je souhaiterais qu'il y eût d'autres mondes pour y pouvoir étendre mes conquêtes amoureuses. Comment
Monsieur vous ne me l'aviez pas demandé. Comment
Je vous demande, si je ferai bien d'épouser la Fille dont je vous parle. Comment
je ne te demande qu'un peu pus damiquié. Comment
Je vous demande à toutes deux, si je serai Cocu ? Question
Seigneur Alcantor, j'ai demandé votre fille en mariage, il est vrai ; et vous me l'avez accordée : mais je me trouve un peu avancé en âge pour elle ; et je considère que je ne suis point du tout son fait. Comment
Je ne demande pas votre avis là-dessus. Comment
Non mon frère, ne vous mettez pas en peine, si je fais une faute, je saurai la réparer ; je me charge de tout le soin de notre honneur, je sais à quoi il nous oblige, et cette suspension d'un jour que ma reconnaissance lui demande, ne fera qu'augmenter l'ardeur que j'ai de le satisfaire. Comment
Don Juan, vous voyez que j'ai soin de vous rendre le bien que j'ai reçu de vous, et vous pouvez par là juger du reste, et croire que je m'acquitte avec même chaleur de tout ce que je dois, et que je ne serai pas moins exact à vous payer l'injure que le bienfait ; je ne veux point vous obliger à m'expliquer ici vos sentiments, et je vous donne la liberté de penser à loisir aux résolutions que vous avez à prendre ; vous connaissez assez la grandeur de l'offense que vous nous avez faite, et je vous fais juge vous-même des réparations qu'elle demande : il est des moyens doux pour nous satisfaire, il en est de violents et sanglants ; mais enfin, quelque choix que vous fassiez, vous m'avez donné parole de me faire faire raison par Don Juan, songez à me la tenir je vous prie, et vous ressouvenez que hors d'ici je ne dois plus qu'à mon honneur. Comment
Me dois-tu faire cette demande ? Question
Seigneur je ris de ma sottise ; mais c'est mon Maître qui me la fait faire ; Seigneur Commandeur, mon Maître Don Juan vous demande si vous voulez lui faire l'honneur de venir souper avec lui… ah. Comment
Monsieur, voilà votre marchand, Monsieur Dimanche, qui demande à vous parler. Comment
j'ai souhaité un fils avec des ardeurs nonpareilles, je l'ai demandé sans relâche avec des transports incroyables ; et ce fils, que j'obtiens en fatiguant le Ciel de vœux, est le chagrin et le supplice de cette même vie dont je croyais qu'il devait être la joie et la consolation : De quel œil, à votre avis, pensez-vous que je puisse voir cet amas d'actions indignes, dont on a peine aux yeux du monde d'adoucir le mauvais visage ? Question
C'est ce parfait et pur amour qui me conduit ici pour votre bien, pour vous faire part d'un avis du Ciel, et tâcher de vous retirer du précipice où vous courez ; oui Don Juan je sais tous les dérèglements de votre vie, et ce même Ciel qui m'a touché le cœur, et fait jeter les yeux sur les égarements de ma conduite, m'a inspiré de vous venir trouver, et de vous dire de sa part, que vos offenses ont épuisé sa miséricorde, que sa colère redoutable est prête de tomber sur vous, qu'il est en vous de l'éviter par un prompt repentir ; et que peut-être vous n'avez pas encore un jour à vous, pour vous soustraire au plus grand de tous les malheurs ; pour moi je ne tiens plus à vous par un attachement du monde, je suis revenue, grâce au Ciel, de toutes mes folles pensées ; ma retraite est résolue et je ne demande qu'assez de vie pour pouvoir expier la faute que j'ai faite, et mériter, par une austère pénitence, le pardon de l'aveuglement où m'ont plongée les transports d'une passion condamnable : mais dans cette retraite j'aurai une douleur extrême qu'une personne, que j'ai chérie tendrement, devînt un exemple funeste de la justice du Ciel, et ce me sera une joie incroyable, si je puis vous y porter et détourner de dessus votre tête l'épouvantable coup qui vous menace. Comment
De grâce Don Juan accordez-moi pour dernière faveur cette douce consolation, ne me refusez point votre salut, que je vous demande avec larmes ; et si vous n'êtes point touché de votre intérêt, soyez-le au moins de mes prières, et m'épargnez le cruel déplaisir de vous voir condamné à des supplices éternels. Comment
Encore une fois Don Juan, je vous le demande avec larmes, et si ce n'est assez des larmes d'une personne que vous avez aimée, je vous en conjure par tout ce qu'il y a de plus capable pour vous toucher. Comment
Et d'un mot d'entretien vous demande la grâce. Comment
Demande si l'on fait les Enfants par l'oreille, Comment
Certain devoir pieux me demande là-haut, Comment