Qui pour armes, pourtant, mousquets, dagues ou flèches, |
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Loin d'assurer une âme, et lui fournir des armes, |
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Et la lanterne sourde, et les armes qu'il faut. |
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Nous irons bien armés, et si quelqu'un nous gronde, |
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Ses vœux se sont armés contre votre naissance, |
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tu veux qu'on se lie à demeurer au premier objet qui nous prend, qu'on renonce au monde pour lui, et qu'on n'ait plus d'yeux pour personne ; la belle chose de vouloir se piquer d'un faux honneur, d'être fidèle, de s'ensevelir pour toujours dans une passion, et d'être mort dès sa jeunesse pour toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux ; non non, la constance n'est bonne que pour des ridicules : toutes les belles ont droit de nous charmer, et l'avantage d'être rencontrée la première, ne doit point dérober aux autres les justes prétentions qu'elles ont toutes sur nos cœurs ; pour moi, la beauté me ravit partout où je la trouve, et je cède facilement à cette douce violence où elle nous entraine ; J'ai beau être engagé, l'amour que j'ai pour une belle n'engage point mon âme à faire une injustice aux autres ; Je conserve des yeux pour voir le mérite de toutes, et je rends à chacune les hommages et les tributs où la nature nous oblige ; quoi qu'il en soit je ne puis refuser mon cœur à tout ce que je vois d'aimable, et dès qu'un beau visage me le demande, si j'en avais dix mille, je les donnerais tous : les inclinations naissantes après tout ont des charmes inexplicables, et tout le plaisir de l'amour est dans le changement : on goûte une douceur extrême à réduire, par cent hommages, le cœur d'une jeune beauté, à voir de jour en jour les petits progrès qu'on fait, à combattre par des transports, par des larmes et des soupirs, l'innocente pudeur d'une âme qui a peine à rendre les armes, à forcer pied à pied toutes les petites résistances qu'elle nous oppose, à vaincre les scrupules dont elle se fait un honneur, et à la mener doucement où nous avons envie de la faire venir ; mais lorsqu'on est maître une fois, il n'y a plus rien à dire ni rien à souhaiter, tout le beau de la passion est fini, et nous nous endormons dans la tranquillité d'un tel amour, si quelque objet nouveau ne vient réveiller nos désirs, et présenter à notre cœur les charmes attrayants d'une conquête à faire ; enfin il n'est rien de si doux que de triompher de la résistance d'une belle personne, et j'ai sur ce sujet l'ambition des conquérants qui volent perpétuellement de victoire en victoire, et ne peuvent point se résoudre à borner leurs souhaits ; il n'est rien qui puisse arrêter l'impétuosité de mes désirs, je me sens porté à aimer toute la terre, et comme Alexandre je souhaiterais qu'il y eût d'autres mondes pour y pouvoir étendre mes conquêtes amoureuses. |
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Prépare-toi donc à venir avec moi, et prends soin toi-même d'apporter toutes mes armes afin que… Ah rencontre fâcheuse ! |
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Qu'ils prennent contre nous des armes qu'on révère, |
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croyez-vous qu'il suffise d'en porter le nom et les armes, et que ce nous soit une gloire d'être sorti d'un sang noble, lors que nous vivons en infâmes ? |
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Se fait, de vos bontés, des armes contre vous ? |
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Question
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Et sa douceur offerte à qui vous rend les Armes, |
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Si j'avais su qu'en main il a de telles armes, |
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Qu'il prend, contre lui-même, assez souvent, les armes ; |
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Son adresse, à Cheval, aux Armes, à la Danse ; |
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Pour vous donner avis du succès de ses Armes, |
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Dans un Coffret, scellé des Armes de mon Maître. |
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Où me tenait lié la gloire de nos Armes, |
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Bon, vous voilà les armes à la main
Je vous commets au soin de nettoyer partout ; et surtout, prenez garde de ne point frotter les meubles trop fort, de peur de les user. |
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Quoi, voir de toutes parts, pour lui rendre les armes, |
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Contre un pareil malheur ma constance est sans armes, |
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Qu'à ses premiers regards les cœurs rendent les armes, |
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Je vous l'ai déjà dit ; tout le secret des Armes ne consiste qu'en deux choses, à donner, et à ne point recevoir : Et comme je vous fis voir l'autre jour par raison démonstrative, il est impossible que vous receviez, si vous savez détourner l'Épée de votre ennemi de la ligne de votre corps ; ce qui ne dépend seulement que d'un petit mouvement du poignet ou en dedans, ou en dehors. |
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Et moi, je leur soutiens à tous deux, que la Science de tirer des Armes, est la plus belle et la plus nécessaire de toutes les Sciences. |
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Que ne les vois-je fondre sur moi les armes à la main ! |
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Et lui rendre les armes. |
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