| Non mon frère, ne vous mettez pas en peine, si je fais une faute, je saurai la réparer ; je me charge de tout le soin de notre honneur, je sais à quoi il nous oblige, et cette suspension d'un jour que ma reconnaissance lui demande, ne fera qu'augmenter l'ardeur que j'ai de le satisfaire. |
|
Comment
|
| Allons, mon frère, un moment de douceur ne fait aucune injure à la sévérité de notre devoir. |
|
Comment
|
| Nous allons réveiller les efforts de son Frère, |
|
Comment
|
| Oui, mon Frère, je suis un méchant, un coupable, |
|
Comment
|
| Vous fiez-vous, mon Frère, à mon extérieur ? |
|
Question
|
| Mon Frère, c'en est trop. |
|
Comment
|
| Mon Frère, c'en est trop. |
|
Comment
|
| Mon Frère, eh ! |
|
Comment
|
| Mon Frère, au nom de Dieu, ne vous emportez pas. |
|
Comment
|
| Je vois qu'envers mon Frère, on tâche à me noircir... |
|
Comment
|
| Remettez-vous, mon Frère, et ne vous fâchez pas. |
|
Comment
|
| Et crois qu'il est besoin, mon Frère, que j'en sorte. |
|
Comment
|
| Non, mon Frère, jamais. |
|
Comment
|
| Non, mon Frère, jamais. |
|
Comment
|
| mon Frère, une Femme |
|
Comment
|
| Mon Frère, vos conseils sont les meilleurs du monde, |
|
Comment
|
| Mon frère, que je crois, sera de mon avis. |
|
Comment
|
| J'en ferais de bon cœur, mon frère, autant que vous. |
|
Comment
|
| Nous songerons, mon Frère, à faire ce qu'il faut. |
|
Comment
|
| mon Frère, arrêtez, |
|
Comment
|
| Mais que ne tâchez-vous aussi à gagner l'appui de mon Frère, en cas que la Servante s'avisât de révéler notre secret ? |
|
Question
|
| Mais vous, de votre part, agissez auprès de votre Frère, et servez-vous de l'amitié qui est entre vous deux, pour le jeter dans nos intérêts. |
|
Comment
|
| Me voilà prête à vous ouïr, mon Frère. |
|
Comment
|
| Vous êtes-vous engagé, mon Frère, avec celle que vous aimez ? |
|
Question
|
| Suis-je, mon Frère, une si étrange personne ? |
|
Question
|