Si celle de mon frère en userait ainsi ; |
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J'y pourrais consentir à l'égard de mon frère, |
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Je veux sans différer, aller trouver mon frère, |
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Suis-je de voir mon frère, et lui conter sa chance ; |
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ah, ah, que voulez-vous mon frère ; |
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Nous rirons bien tantôt, là, signez donc, mon frère, |
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N'êtes-vous pas d'accord, mon frère, si c'est elle, |
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Mais, Madame, après tout… Pour vous, Monsieur son Frère, |
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Il l'appelle son Frère, et l'aime dans son âme |
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Ah, mon Frère, bonjour. |
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À votre nez, mon Frère, elle se rit de vous ; |
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Mon Frère, vous seriez charmé de le connaître, |
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Les sentiments humains, mon Frère, que voilà ! |
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Parbleu, vous êtes fou, mon Frère, que je crois. |
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Mon Frère, ce discours sent le libertinage. |
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Je ne suis point, mon Frère, un Docteur révéré, |
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Notre Siècle, mon Frère, en expose à nos yeux, |
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De grâce, un mot, mon Frère, |
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Je m'étais par hasard écarté d'un frère et de tous ceux de notre suite, et comme je cherchais à les rejoindre j'ai fait rencontre de ces voleurs qui d'abord ont tué mon cheval, et qui sans votre valeur en auraient fait autant de moi. |
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Oui, mais sans y vouloir entrer, et nous nous voyons obligés, mon frère et moi, à tenir la campagne pour une de ces fâcheuses affaires qui réduisent les Gentilshommes à se sacrifier eux et leur famille à la sévérité de leur honneur, puisque enfin le plus doux succès en est toujours funeste, et que si l'on ne quitte pas la vie on est contraint de quitter le Royaume, et c'est en quoi je trouve la condition d'un Gentilhomme malheureuse de ne pouvoir point s'assurer sur toute la prudence et toute l'honnêteté de sa condition, d'être asservi par les lois de l'honneur au dérèglement de la conduite d'autrui, et de voir sa vie, son repos et ses biens dépendre de la fantaisie du premier téméraire qui s'avisera de lui faire une de ces injures pour qui un honnête homme doit périr. |
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Non, quant à moi je ne l'ai jamais vu, et je l'ai seulement ouï dépeindre à mon frère ; mais la Renommée n'en dit pas force bien, et c'est un homme dont la vie… |
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quoi, mon frère, vous voilà avec notre ennemi mortel ! |
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De grâce, mon frère. |
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Arrêtez vous dis-je, mon frère, je ne souffrirai point du tout qu'on attaque ses jours et je jure le Ciel que je le défendrai ici contre qui que ce soit, je saurai lui faire un rempart de cette même vie qu'il a sauvée, et pour adresser vos coups il faudra que vous me perciez. |
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Mon frère, montrons de la modération dans une action légitime, et ne vengeons point notre honneur avec cet emportement que vous témoignez ; ayons du cœur dont nous soyons les maîtres, une valeur qui n'ait rien de farouche, et qui se porte aux choses par une pure délibération de notre raison, et non point par le mouvement d'une aveugle colère ; je ne veux point mon frère demeurer redevable à mon ennemi, et je lui ai une obligation dont il faut que je m'acquitte avant toute chose : notre vengeance, pour être différée n'en sera pas moins éclatante, au contraire elle en tirera de l'avantage, et cette occasion de l'avoir pu prendre, la fera paraître plus juste aux yeux de tout le monde. |
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