Oui, Madame, et ce Frère en Castille élevé |
|
Comment
|
Mais je crains que mon Frère y puisse trop devoir. |
|
Comment
|
Ce Frère qui menace un Tyran plein de crimes, |
|
Comment
|
C'est que pour être Roi, le Ciel vous rend ce Frère ; |
|
Comment
|
D'un Frère et d'un État les suffrages propices. |
|
Comment
|
Que l'aveu d'un État, et la faveur d'un Frère. |
|
Comment
|
Il donne en ses États un asile à mon Frère. |
|
Comment
|
Lui voir prendre un époux de la main de ce Frère ; |
|
Comment
|
De ce frère qui vient, et de la lettre aussi, |
|
Comment
|
Dans mon Frère qui vient, me va montrer mon Roi. |
|
Comment
|
Ouvrez les murs d'Astorgue au Frère que j'attends, |
|
Comment
|
Qui replace mon Frère au Trône paternel. |
|
Comment
|
Et veuille que ce Frère, où l'on va m'exposer |
|
Comment
|
Vous attendez un frère, et Léon son vrai Maître, |
|
Comment
|
Mon Frère, d'un tel nom souffrez-moi la douceur, |
|
Comment
|
Et dans votre Rival elle trouve son Frère ; |
|
Comment
|
Mon frère, s'il vous plaît, ne discourons point tant, |
|
Comment
|
Mon frère. |
|
Comment
|
Mon frère. |
|
Comment
|
Bien vous prend que son frère ait toute une autre humeur, |
|
Comment
|
laissez-les, mon frère, aller se divertir. |
|
Comment
|
Je suis votre valet, mon frère. |
|
Comment
|
Je suis votre valet, mon frère. |
|
Comment
|
Mon frère, son discours ne doit que faire rire, |
|
Comment
|
Vous vous êtes, mon frère, attiré ces sottises, |
|
Comment
|