Que t'en semble ? |
|
Question
|
Il t'a parlé ? |
|
Question
|
Il t'a parlé ? |
|
Question
|
Tu t'es pris à des gens tous remplis de vaillances, |
|
Comment
|
Pense que c'est, mon fils, le Ciel qui t'en conjure. |
|
Comment
|
Mais que t'importe-t-il, valet causeur et traître, |
|
Comment
|
Pourquoi t'en mettre en peine ? |
|
Question
|
Je fais ce que je veux, dois-je t'en rendre compte ? |
|
Question
|
Qui t'ont voulu saisir, comment te sauvas-tu ? |
|
Question
|
Tu ne prends pas mon sens ; va donc où je t'ai dit. |
|
Comment
|
Viens prendre mon épée et t'en va promptement |
|
Comment
|
C'est moi qui t'en convie. |
|
Comment
|
Et s'en railler après, t'en doit-on pas de reste ? |
|
Question
|
Sur ce frêle élément où je t'ai vu pâlir, |
|
Comment
|
Ne t'en étonne point : ton charme a la puissance |
|
Comment
|
Tu t'en iras devant annoncer ma venue. |
|
Comment
|
Que t'ai-je fait, tyran ? |
|
Question
|
C'est moi qui t'en viens avertir, |
|
Comment
|
Vengée ou non, mon coeur, après ce qu'il t'a dit, |
|
Comment
|
Je ne t'ai pas manqué, j'ai tenu ma promesse, |
|
Comment
|
Ne t'avais-je pas dit quelle était ma pensée ? |
|
Question
|
Que jusqu'à ce moment ils t'ont laissé la vie. |
|
Comment
|
Voilà pour quel sujet je t'avais invité. |
|
Comment
|
Tu t'es épouvanté. |
|
Comment
|
Tu t'es épouvanté. |
|
Comment
|