Certes, pour un Amant, la Fleurette est mignonne, |
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C'est ainsi, qu'un Amant, dont l'ardeur est extrême, |
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Et de pareils avis obligent un Amant. |
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Et l'on sait ce que c'est, qu'un Courroux d'un Amant. |
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Un Amant, là-dessus, n'aime point qu'on balance : |
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Instruisent un Amant du malheur de ses Soins. |
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Vous voyez un Mari ; vous voyez un Amant : |
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Cet Amant, de vos vœux, jaloux au dernier point, |
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Cette pensée m'assassine, et les privilèges qu'ont les maris sont des choses cruelles pour un Amant qui aime bien. |
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Faut-il que trois ou quatre mille écus de plus, sur la parole de votre Oncle, lui fassent rejeter un Amant qui vous agrée ? |
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Question
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Et je serais votre Amant, |
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Voulaient voir d'un Amant la constance éprouvée. |
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Qu'aucun Amant, ma Sœur, à nous ne veut venir, |
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Le changement du cœur d'un Amant, n'est pas ce qu'on peut le plus craindre. |
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Quoi, traiter un Amant de la sorte, et un Amant le plus fidèle, et le plus passionné de tous les Amants ? |
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Question
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Mais le mal de l'affaire était, que mon amant se trouvait dans l'état où l'on voit très souvent la plupart des Fils de Famille, c'est-à-dire qu'il était un peu dénué d'argent ; et il a un père, qui, quoique riche, est un avaricieux fieffé, le plus vilain Homme du Monde. |
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Comment
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Savez-vous bien que vous venez de parler là au Père de votre Amant ? |
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Question
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Je viens vous dire Adieu, mon Amant vous renvoie, |
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Si toujours cet Amant vous cache ce qu'il est ? |
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Question
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Amant, que j'aime encor cent fois plus que ma vie, |
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Pour plaire aux yeux d'un Dieu qui s'est fait mon Amant, |
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Comment
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Oui, vous en devriez rougir, Cléante, et il n'est guère honnête à un Amant de venir le dernier au rendez-vous. |
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Comment
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Ce sont gens qu'on ménage dans les Provinces pour le besoin qu'on en peut avoir, ils servent au moins à remplir les vides de la galanterie, à faire nombre de soupirants ; et il est bon, Madame, de ne pas laisser un Amant seul maître du terrain, de peur que faute de Rivaux, son amour ne s'endorme sur trop de confiance. |
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Comment
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Ce sont gens qu'on ménage dans les Provinces pour le besoin qu'on en peut avoir, ils servent au moins à remplir les vides de la galanterie, à faire nombre de soupirants ; et il est bon, Madame, de ne pas laisser un Amant seul maître du terrain, de peur que faute de Rivaux, son amour ne s'endorme sur trop de confiance. |
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Comment
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Dont la beauté, Myrtil, vous a fait son Amant ? |
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Question
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