Premièrement, elle est nourrie et élevée dans une grande épargne de bouche
C'est une Fille accoutumée à vivre de salade, de lait, de fromage, et de pommes, et à laquelle par conséquent il ne faudra ni table bien servie, ni consommés exquis, ni orges mondés perpétuels, ni les autres délicatesses qu'il faudrait pour une autre Femme ; et cela ne va pas à si peu de chose, qu'il ne monte bien, tous les ans, à trois mille francs pour le moins. |
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Comment
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Ah je vous y prends donc, Madame ma femme, et vous faites des escampativos pendant que je dors. |
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Comment
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En effet, si j'avais été Femme, je n'aurais point aimé les jeunes Hommes. |
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Comment
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As-tu vu ma Femme ? |
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Question
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As-tu vu ma Femme ? |
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Question
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As-tu vu ma Femme ? |
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Question
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Hé bien si vous me réduisez au désespoir, je vous avertis qu'une femme en cet état est capable de tout, et que je ferai quelque chose ici dont vous vous repentirez. |
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Comment
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Avec plaisir soit revu de sa Femme ; |
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Comment
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Ne nous rompez pas davantage la tête et songez à demander pardon à votre femme. |
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Comment
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Jour de Dieu, si vous y retournez, on vous apprendra le respect que vous devez à votre femme ; et à ceux de qui elle sort. |
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Comment
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Et ne t'apprenne où va le courroux d'une Femme. |
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Comment
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De ta Femme, il fallut moi-même t'aviser ; |
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Comment
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Attendez ; si nous avions quelque Femme un peu sur l'âge, qui fût de mon talent, et jouât assez bien pour contrefaire une Dame de qualité, par le moyen d'un train fait à la hâte, et d'un bizarre nom de Marquise, ou de Vicomtesse, que nous supposerions de la Basse Bretagne ; j'aurais assez d'adresse pour faire accroire à votre Père que ce serait une Personne riche, outre ses Maisons, de cent mille écus en argent comptant ; qu'elle serait éperdument amoureuse de lui, et souhaiterait de se voir sa femme, jusqu'à lui donner tout son bien par Contrat de mariage ; et je ne doute point qu'il ne prêtât l'oreille à la proposition ; car enfin, il vous aime fort, je le sais : mais il aime un peu plus l'argent ; et quand ébloui de ce leurre, il aurait une fois consenti à ce qui vous touche, il importerait peu ensuite qu'il se désabusât, en venant à vouloir voir clair aux effets de notre Marquise. |
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Comment
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Que de sa Femme on se doit abstenir ; |
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Comment
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La vérité est que je l'aime, depuis un jour que je la vis dans une promenade ; que mon dessein était tantôt de vous la demander pour Femme ; et que rien ne m'a retenu, que la déclaration de vos sentiments, et la crainte de vous déplaire. |
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Comment
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On se lasse, parfois, d'être Femme de bien. |
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Comment
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Apprenez, pour vous confondre, qu'il y a seize ans pour le moins, que l'Homme dont vous nous parlez, périt sur Mer avec ses Enfants et sa Femme, en voulant dérober leur vie aux cruelles persécutions qui ont accompagné les désordres de Naples, et qui en firent exiler plusieurs nobles Familles. |
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Comment
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Si j'étais autre que Femme. |
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Comment
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Une Femme nous dit en soupirant, que nous pouvions voir là quelque chose de pitoyable en des Personnes étrangères ; et qu'à moins que d'être insensibles, nous en serions touchés. |
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Comment
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Il n'y a que des Sots, et des Sottes, ma Femme, qui se railleront de moi. |
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Comment
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Taisez-vous, ma Servante, et ma Femme. |
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Comment
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Vous imaginez-vous, Monsieur Oronte, qu'un Homme comme moi soit si affamé de Femme ? |
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Question
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Savez-vous bien, ma femme, que vous ne savez pas de qui vous parlez, quand vous parlez de lui ? |
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Question
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Ouais, vous êtes bien obstinée, ma Femme ; je vous dis qu'il me tiendra parole, j'en suis sûr. |
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Comment
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Oui, Medeme, et je sis sa Femme. |
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Comment
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