mérite

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Gorgibus de votre mérite et de votre savoir, j'ai eu la plus grande passion du monde d'avoir l'honneur de votre connaissance, et j'ai pris la liberté de vous saluer à ce dessein : je crois que vous ne le trouverez pas mauvais. Comment
À vous pouvoir louer selon votre mérite, Comment
Ce pauvre maître Albert a beaucoup de mérite, Comment
Et trouve en vos beautés un mérite si grand ; Comment
Au mérite souvent de qui l'éclat vous blesse, Comment
Mesdames, vous serez surprises, sans doute, de l'audace de ma visite ; mais votre réputation vous attire cette méchante affaire, et le mérite a, pour moi, des charmes si puissants, que je cours, partout, après lui. Comment
Si vous poursuivez le mérite, ce n'est pas sur nos terres que vous devez chasser. Comment
Pour voir chez nous le mérite, il a fallu, que vous l'y ayez amené. Comment
Si le mérite seul prenait droit sur un cœur. Comment
Et voir d'un œil égal, l'un et l'autre mérite : Comment
Et je me vois heureux plus que je ne mérite. Comment
Donnez, nous allons voir qui mérite le blâme, Comment
Moins on mérite un bien qu'on nous fait espérer, Comment
Pour avoir mérité cette effroyable chute ? Question
Madame, à mes yeux n'offrez point son mérite, Comment
Il en aura toujours moins qu'il n'a mérité. Comment
Oui, bien que votre amour ait mérité les coups, Comment
J'ai mérité du sort tout ce qu'il a de pire, Comment
Je m'accuse pour vous de mon peu de mérite, Comment
Oui, oui, votre mérite à qui chacun se rend, Comment
C'est le juste respect qu'il a pour mon mérite, Comment
Allez, allez, elle mérite bien cela, et quelque chose de plus, si on lui faisait justice. Comment
Il le mérite bien, et j'en suis fort ravi ; Comment
Trop malheureux d'avoir mérité votre haine. Comment
tu veux qu'on se lie à demeurer au premier objet qui nous prend, qu'on renonce au monde pour lui, et qu'on n'ait plus d'yeux pour personne ; la belle chose de vouloir se piquer d'un faux honneur, d'être fidèle, de s'ensevelir pour toujours dans une passion, et d'être mort dès sa jeunesse pour toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux ; non non, la constance n'est bonne que pour des ridicules : toutes les belles ont droit de nous charmer, et l'avantage d'être rencontrée la première, ne doit point dérober aux autres les justes prétentions qu'elles ont toutes sur nos cœurs ; pour moi, la beauté me ravit partout où je la trouve, et je cède facilement à cette douce violence où elle nous entraine ; J'ai beau être engagé, l'amour que j'ai pour une belle n'engage point mon âme à faire une injustice aux autres ; Je conserve des yeux pour voir le mérite de toutes, et je rends à chacune les hommages et les tributs où la nature nous oblige ; quoi qu'il en soit je ne puis refuser mon cœur à tout ce que je vois d'aimable, et dès qu'un beau visage me le demande, si j'en avais dix mille, je les donnerais tous : les inclinations naissantes après tout ont des charmes inexplicables, et tout le plaisir de l'amour est dans le changement : on goûte une douceur extrême à réduire, par cent hommages, le cœur d'une jeune beauté, à voir de jour en jour les petits progrès qu'on fait, à combattre par des transports, par des larmes et des soupirs, l'innocente pudeur d'une âme qui a peine à rendre les armes, à forcer pied à pied toutes les petites résistances qu'elle nous oppose, à vaincre les scrupules dont elle se fait un honneur, et à la mener doucement où nous avons envie de la faire venir ; mais lorsqu'on est maître une fois, il n'y a plus rien à dire ni rien à souhaiter, tout le beau de la passion est fini, et nous nous endormons dans la tranquillité d'un tel amour, si quelque objet nouveau ne vient réveiller nos désirs, et présenter à notre cœur les charmes attrayants d'une conquête à faire ; enfin il n'est rien de si doux que de triompher de la résistance d'une belle personne, et j'ai sur ce sujet l'ambition des conquérants qui volent perpétuellement de victoire en victoire, et ne peuvent point se résoudre à borner leurs souhaits ; il n'est rien qui puisse arrêter l'impétuosité de mes désirs, je me sens porté à aimer toute la terre, et comme Alexandre je souhaiterais qu'il y eût d'autres mondes pour y pouvoir étendre mes conquêtes amoureuses. Comment