| À m'éloigner du trouble, et pouvoir longuement, |
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Comment
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| Quelque chose le trouble, ou je suis fort déçu, |
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Comment
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| Je vois, seigneur Albert, au trouble de vos yeux |
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| Je rentre ici d'un trouble en un autre aussi grand : |
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| Tâche à me déguiser le trouble qui l'agite. |
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| Voici mon jeune fou d'où nous vient tout ce trouble. |
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| Plus je reviens du trouble où j'ai donné d'abord, |
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| mon trouble est sans pareil : |
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| J'ai calmé votre trouble, avec cette lumière, |
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| D'un trouble tout nouveau je me sens l'âme émue ; |
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| Pour condamner l'erreur du trouble où je vous vois, |
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| Vous trouble jusque-là l'usage de la vue, |
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| que je sens de trouble, et qu'il m'eût été doux, |
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| Ah d'un trouble bien grand je me sens agité ! |
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Comment
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| Dans mon trouble du moins, la nuit me favorise : |
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Comment
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| Du chagrin qui me trouble, ils iraient l'avertir ; |
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Comment
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| Où sans trouble il dormit jusques au lendemain. |
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Comment
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| Quoiqu'il en soit laissons cela, c'est une bagatelle, et nous pouvons avoir été trompés par un faux jour, ou surpris de quelque vapeur qui nous ait troublé la vue. |
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Comment
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| Sur l'hymen qui vous trouble, elle veut le sonder, |
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Comment
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| Et pendant tout ce trouble étant moins observée, |
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| Et jamais d'un Mari n'en trouble les oreilles. |
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Comment
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| Je trouble en ses projets l'amour qui vous possède, |
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Comment
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| Mon trouble, il est bien vrai, m'a si fort possédée, |
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Comment
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| Et qu'au dû de ma Charge on ne me trouble en rien. |
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Comment
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| Ouais, quel est donc, le trouble, où je vous vois paraître ? |
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Question
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