Cela me fend le cœur, de les voir ainsi exténués : car enfin j'ai une tendresse pour mes Chevaux, qu'il me semble que c'est moi-même, quand je les vois pâtir ; je m'ôte tous les jours pour eux les choses de la bouche ; et c'est être, Monsieur, d'un naturel trop dur, que de n'avoir nulle pitié de son prochain. |
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