| Y a-t-il ici quelqu'un qui sache écrire ? |
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Question
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| Qu'y a-t-il, Monsieur ? |
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Question
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| Mais où vous a-t-il dit qu'il reçut la clarté ? |
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Question
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| Je ne saurais souffrir, a-t-il dit hautement, |
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Comment
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| A-t-elle dit tout haut : oh ! |
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Comment
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| Peut-être a-t-il l'humeur du frère de Marc Tulle, |
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Comment
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| D'où, diantre, a-t-il pu la savoir ? |
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Question
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| A-t-on jamais vu, dites-moi, deux Pecques Provinciales faire plus les renchéries que celles-là, et deux hommes traités avec plus de mépris que nous ? à peine ont-elles pu se résoudre à nous faire donner des sièges. |
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Question
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| A-t-on jamais parlé dans le beau style de Cathos ni de Magdelon ? |
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Question
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| Mais au moins, y a-t-il sûreté ici pour moi ? |
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Question
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| Vicomte dis-moi un peu, y a-t-il longtemps, que tu n'as vu la Comtesse ? |
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Question
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| Qu'est ceci, quel désordre, quelle querelle, quel grabuge, quel vacarme, quel bruit, quel différend, quelle combustion, qu'y a-t-il, Messieurs, qu'y a-t-il, qu'y a-t-il, çà, çà, voyons un peu s'il n'y a pas moyen de vous mettre d'accord, que je sois votre pacificateur, que j'apporte l'union chez vous. |
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Comment
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| Eh quoi toujours du bruit, du désordre, de la dissension, des querelles, des débats, des différends, des combustions, des altercations éternelles, qu'est-ce, qu'y a-t-il donc, on ne saurait avoir du repos ? |
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Question
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| À qui donc en a-t-il. |
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Comment
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| À qui donc en a-t-il. |
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Comment
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| A-t-on mieux cru jamais être cocu que moi ? |
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Question
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| Don Alphonse vient-il, a-t-on lieu de l'attendre ? |
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Question
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| Et quand, charmante Élise, a-t-on vu s'il vous plaît, |
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Comment
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| Assez paisiblement vous a-t-on écouté, |
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Comment
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| A-t-il rien de si noir que cette perfidie, |
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Comment
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| et depuis quand vous a-t-il pris ? |
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Question
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| Non : vous a-t-on point dit comme on le nomme ? |
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Question
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| Non : vous a-t-on point dit comme on le nomme ? |
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Question
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| Y a-t-il assez de pommes en Normandie pour tarte à la crème ? |
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Question
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| A-t-on jamais parlé de pistolets, bon Dieu ! |
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Comment
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