Sans courir le danger en tenter la fortune : |
|
Comment
|
Oui, Seigneur Zanobio Ruberti, la fortune |
|
Comment
|
Avec vous en amour je cours même fortune ; |
|
Comment
|
suffit : même fortune. |
|
Comment
|
Quelque peu de fortune à notre adresse jointe, |
|
Comment
|
Ô fortune, quelle est ton inconstance ! |
|
Comment
|
Contre les coups que peut vous porter la fortune, |
|
Comment
|
Je l'avais sous mes pieds rencontré par fortune, |
|
Comment
|
Pourvu que sa fortune en tire quelque fruit ? |
|
Question
|
À la foi d'un amant, commettre ma fortune. |
|
Comment
|
Vous est-il point encore arrivé de fortune ? |
|
Question
|
Car enfin, je trouve qu'il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver en Vers la Fortune, accuser les Destins, et dire des injures aux Dieux, que d'entrer comme il faut dans le ridicule des hommes, et de rendre agréablement sur le Théâtre les défauts de tout le monde. |
|
Comment
|
Puisque je viens, Monsieur, faire votre fortune. |
|
Comment
|
Par le chemin du Ciel courir à leur fortune ; |
|
Comment
|
Ah fortune ! |
|
Comment
|
Je suis le Misérable, et toi le Fortuné, |
|
Comment
|
Enfin j'ai voulu vous parler, pour m'aider à sonder mon Père sur les sentiments où je suis ; et si je l'y trouve contraire, j'ai résolu d'aller en d'autres lieux, avec cette aimable Personne, jouir de la fortune que le Ciel voudra nous offrir. |
|
Comment
|
C'est une douce consolation, que de voir dans ses intérêts une Personne comme vous ; et je vous conjure, Madame, de me garder toujours cette généreuse amitié, si capable de m'adoucir les cruautés de la fortune. |
|
Comment
|
Apprenez que le Capitaine de ce Vaisseau, touché de ma fortune, prit amitié pour moi ; qu'il me fit élever comme son propre Fils, et que les Armes furent mon emploi dès que je m'en trouvai capable. |
|
Comment
|
Voyons quelle fortune en ce jour peut m'attendre. |
|
Comment
|
Puisque notre fortune enfin en dépend toute. |
|
Comment
|
Il pousse sa fortune. |
|
Comment
|
Madame, ce m'est une gloire bien grande, de me voir assez fortuné, pour être si heureux, que d'avoir le bonheur, que vous ayez eu la bonté de m'accorder la grâce, de me faire l'honneur, de m'honorer de la faveur de votre présence : Et si j'avais aussi le mérite, pour mériter un mérite comme le vôtre, et que le Ciel… envieux de mon bien… m'eût accordé… l'avantage de me voir digne… des… |
|
Comment
|
L'éclat d'une Fortune, en mille biens féconde, |
|
Comment
|
D'une Fortune, en mille biens féconde ; |
|
Comment
|