| Oui ? |
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Question
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| Oui, car tu me fais rire. |
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Comment
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| Oui, Mascarille. |
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Comment
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| Oui ; voilà justement |
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Comment
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| Oui ; tu le vas voir paraître. |
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Comment
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| Oui, c'est lui qui prétend avoir affaire à toi ; |
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Comment
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| Oui, oui, me voilà prêt, puisqu'on m'y veut forcer ; |
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Comment
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| Oui, bien loin de vanter le pouvoir de mon bras, |
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Comment
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| Oui, mon fils, c'est assez rire de ta fureur, |
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Comment
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| Oui, c'est elle, en un mot, dont l'adresse subtile |
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Comment
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| Je n'ai jamais vu tant parler à l'oreille qu'elles ont fait entre elles, tant bâiller ; tant se frotter les yeux, et demander tant de fois quelle heure est-il ; ont-elles répondu que oui et non, à tout ce que nous avons pu leur dire ? |
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Question
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| Je le croirais bien oui, il y a toutes les apparences du monde, et pour moi, quand je me regarde aussi… |
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Comment
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| un Marquis, oui, allez dire qu'on nous peut voir. |
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Comment
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| C'est sans doute un bel esprit, qui aura ouï parler de nous. |
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Comment
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| Oui, je trouve ce oh, oh, admirable. |
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Comment
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| Oui, Monsieur. |
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Comment
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| Oui, mais non pas si chaud qu'ici. |
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Comment
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| Oui, je sens quelque chose. |
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Comment
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| Oui, Monsieur, ils sont ici. |
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Comment
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| Oui, nos laquais, et cela n'est ni beau, ni honnête, de nous les débaucher, comme vous faites. |
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Comment
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| Oui, oui, je vous vais contenter, et voici la monnaie, dont je vous veux payer. |
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Comment
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| Oui de l'argent et toute autre chose que vous pourriez demander. |
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Comment
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| Oui, la plus belle qualité d'un honnête homme c'est de parler peu. |
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Comment
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| Oui, ah ma foi tu peux aller coucher d'où tu viens, ou si tu l'aimes mieux dans la rue, je n'ouvre point à une coureuse comme toi, comment diable être toute seule à l'heure qu'il est, je ne sais si c'est imagination, mais mon front m'en paraît plus rude de moitié. |
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Comment
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| Et tarder tant à dire un oui si plein de charmes ? |
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Question
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