Oui, vous. |
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Oui, vous. |
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Oui, de tous vos papiers, dont il se dit le maître, |
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Oui, Madame, une Lettre écrite pour Oronte, |
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Oui, c'est bien dit ; allons à ses pieds, avec joie, |
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Oui, oui, redoutez tout, après un tel Outrage, |
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Oui, oui, je l'ai perdu, lorsque dans votre vue |
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Oui, je voudrais qu'aucun ne vous trouvât aimable, |
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Oui, parle, et promptement. |
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Oui, c'est à vous, de voir, si par des Noeuds si doux, |
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Oui, Monsieur a raison ; Madame, il faut choisir, |
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Oui, Madame, voyons, d'un Esprit adouci, |
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Oui, vous pouvez tout dire, |
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Oui ! |
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Oui, il faut que je m'en venge à quelque prix que ce soit : ces coups de bâton me reviennent au cœur, je ne les saurais digérer, et… (Elle dit tout ceci en rêvant : de sorte que ne prenant pas garde à ces deux Hommes, elle les heurte en se retournant, et leur dit) Ah ! |
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Oui. |
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Oui, Valère, je tiens votre cœur incapable de m'abuser. |
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Oui. |
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Oui, j'ai trouvé là-dedans une certaine Claudine, qui tout du premier coup a compris ce que je voulais, et qui m'a fait parler à sa Maîtresse. |
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Oui, oui. |
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Oui, j'aime. |
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Oui, je conçois assez, mon Frère, quel doit être votre chagrin. |
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Oui, et non, selon ce que vous lui voulez. |
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Oui, notre gendre, elle est votre femme, mais il ne vous est pas permis de l'appeler ainsi, et c'est tout ce que vous pourriez faire, si vous aviez épousé une de vos pareilles. |
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Oui, voilà qui est bien, mes enfants seront Gentilshommes, mais je serai cocu moi, si l'on n'y met ordre. |
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