Oui, mais pour le conclure |
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Oui, je suis au supplice. |
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Oui, plus qu'on ne peut dire. |
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Oui, Madame, on s'en charge, et la chose de soi… |
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Oui. |
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Oui. |
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Oui, j'ai conçu pour elle une effroyable haine. |
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Oui, je vois ces Défauts dont votre âme murmure, |
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Oui, parbleu ; |
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Oui, mon Coeur, au Mérite aime à rendre justice, |
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Oui, mon Fils, et j'en sens des douleurs nonpareilles. |
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Oui, Monsieur le Rieur, malgré vos beaux Esprits, |
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Oui, je vous tromperais, de parler autrement, |
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Oui, je puis, là-dessus, défier tout le Monde. |
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Oui, des Sièges pour tous. |
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Oui, mais je voudrais bien qu'il ne s'y servît pas, |
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Oui, mais il veut avoir trop d'Esprit, dont j'enrage ; |
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Oui, Monsieur, s'il vous plaît. |
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Oui, mais trouvant ailleurs, des Conquêtes faciles, |
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Et l'ardeur de son zèle… Oui, oui, franche Grimace, |
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Oui, mais ma Conscience est blessée en effet, |
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Oui, toute mon Amie, elle est, et je la nomme |
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Oui, je sais quels secours j'en ai pu recevoir ; |
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Oui, je veux que de tout, vos yeux vous fassent foi, |
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Oui, c'est trop demeurer, sans doute, à l'accomplir. |
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