Ah, dis-lui, Maître Jacques, que moyennant cela, il pourra espérer toutes choses de moi ; et que hors Mariane, je lui laisse la liberté de choisir celle qu'il voudra. |
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Comment
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Je dis, mon Père, que je suis trop content de vous ; et que je trouve toutes choses dans la bonté que vous avez de m'accorder Mariane. |
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Comment
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Il n'y a point de supplice assez grand pour l'énormité de ce crime ; et s'il demeure impuni, les choses les plus sacrées ne sont plus en sûreté. |
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Comment
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Monsieur, si vous voulez que je vous dise les choses, je crois que c'est Monsieur votre cher Intendant qui a fait le coup. |
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mon père, prenez des sentiments un peu plus humains, je vous prie, et n'allez point pousser les choses dans les dernières violences du pouvoir paternel : Ne vous laissez point entraîner aux premiers mouvements de votre passion, et donnez-vous le temps de considérer ce que vous voulez faire. |
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Comment
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Chargez-le comme il faut, Monsieur, et rendez les choses bien criminelles. |
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Comment
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Et si les choses sont, comme le Traître dit, |
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Comment
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Vous n'oubliez aucune circonstance, et vous dites les choses tout justement comme elles sont. |
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Comment
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Lorsque mon Père apprendra les choses, je vais voir fondre sur moi un orage soudain d'impétueuses réprimandes. |
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Comment
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Non pas entièrement ; et je voudrais pour lui, qu'il se connût mieux qu'il ne fait aux choses que nous lui donnons. |
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Comment
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Mon Dieu, Éraste, contentez-vous de ce que je fais maintenant, et n'allez point
tenter sur l'avenir les résolutions de mon cœur : ne fatiguez point mon devoir par les
propositions d'une fâcheuse extrémité dont peut-être n'aurons-nous pas besoin ; et
s'il y faut venir, souffrez au moins que j'y sois entraînée par la suite des
choses. |
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Comment
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Oui, la récompense la plus agréable qu'on puisse recevoir des choses que l'on fait, c'est de les voir connues ; de les voir caressées d'un applaudissement qui vous honore. |
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Comment
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C'est un Homme à la vérité dont les lumières sont petites, qui parle à tort et à travers de toutes choses, et n'applaudit qu'à contre-sens ; mais son argent redresse les jugements de son Esprit. |
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Comment
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Assurément ; mais je n'en fais pas tout mon bonheur, et je voudrais qu'avec son bien, il eût encore quelque bon goût des choses. |
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Comment
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À vous dire la vérité, il y a peu de choses qui me soient impossibles, quand je m'en veux mêler. |
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Comment
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J'ai sans doute reçu du Ciel un génie assez beau pour toutes les fabriques de ces gentillesses d'Esprit, de ces galanteries ingénieuses à qui le vulgaire ignorant donne le nom de Fourberies ; et je puis dire sans vanité, qu'on n'a guère vu d'Homme qui fût plus habile Ouvrier de ressorts et d'intrigues ; qui ait acquis plus de gloire que moi dans ce noble Métier : Mais, ma foi, le mérite est trop maltraité aujourd'hui, et j'ai renoncé à toutes choses depuis certain chagrin d'une affaire qui m'arriva. |
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Comment
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Il me querellait quelquefois de n'être pas assez sensible aux choses qu'il me venait dire, et me blâmait sans cesse de l'indifférence où j'étais pour les feux de l'Amour. |
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Comment
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C'est un de mes Écoliers, qui a pour ces sortes de choses un talent admirable. |
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Comment
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Je sens venir les choses. |
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Comment
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Il y a cent choses comme cela qui passent de la tête. |
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Comment
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Ma foi, Monsieur de Pourceaugnac, nous vous en donnerons de toutes les façons ; les choses sont préparées, et je n'ai qu'à frapper. |
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Comment
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Laissez-nous gouverner les choses. |
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Comment
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Vous en serez content, et entre autres choses de certains Menuets que vous y verrez. |
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Comment
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Ce n'est pas parce que nous sommes grands Amis, que j'en parle ; mais il y a plaisir, il y a plaisir d'être son Malade ; et j'aimerais mieux mourir de ses remèdes, que de guérir de ceux d'un autre : car quoi qui puisse arriver, on est assuré que les choses sont toujours dans l'ordre ; et quand on meurt sous sa conduite, vos Héritiers n'ont rien à vous reprocher. |
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Comment
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Je vous l'ai déjà dit ; tout le secret des Armes ne consiste qu'en deux choses, à donner, et à ne point recevoir : Et comme je vous fis voir l'autre jour par raison démonstrative, il est impossible que vous receviez, si vous savez détourner l'Épée de votre ennemi de la ligne de votre corps ; ce qui ne dépend seulement que d'un petit mouvement du poignet ou en dedans, ou en dehors. |
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Comment
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