Elle est levée ; si vous voulez, je la ferai venir. |
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Comment
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Après, si vous voulez en mes mains la remettre, |
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Feignez, si vous voulez, de ne me pas entendre ; |
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Comment
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Non : mais si vous voulez je ne tarderai guère, |
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Comment
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J'entends à demi-mot ce que vous voulez dire ; |
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Comment
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Puisque vous le voulez ; que je perde la vie |
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Comment
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Vous voulez, dites-vous, aller voir cette nuit |
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Comment
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À table comptez-moi, si vous voulez, pour quatre ; |
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Comment
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Par ma foi, je ne sais point quelle bête c'est là, il faut parler Chrétien, si vous voulez, que je vous entende. |
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Comment
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Je m'offre à vous mener l'un de ces jours à la Comédie, si vous voulez, aussi bien on en doit jouer une nouvelle, que je serai bien aise, que nous voyions ensemble. |
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Comment
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ah, ah, ah, oh bien ce n'est pas cela, c'est que je vous prie de m'écouter, et croyez que je ne suis pas un homme à vous faire perdre vos peines, et que si vous me satisfaisiez sur ce que je veux de vous, je vous donnerai ce que vous voudrez, de l'argent, si vous en voulez. |
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Comment
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Vous ne le voulez pas ? |
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Question
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Oui, Madame, j'entends ce que vous voulez dire, |
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Comment
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Mais puisque vous voulez que je n'en touche rien, |
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Comment
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Vous n'avez que les maux que vous voulez avoir, |
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Comment
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Voilà mon cœur ouvert, puisque vous le voulez, |
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Comment
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Élise… À cet éclat vous voulez me forcer, |
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Comment
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Je vais lui dire, Madame, que vous voulez être sortie. |
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Comment
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C'est que vous ne voulez pas y en avoir vu, assurément : car enfin toutes ces ordures, Dieu merci, y sont à visage découvert. |
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Comment
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Mais ce que vous voulez, ma sœur, m'est impossible ; |
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Comment
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Trompez, si vous voulez, un malheureux Amant ; |
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Comment
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Madame, je vous demande pardon ; et si vous le voulez, je me dédirai, pour l'amour de vous, de tout ce que j'ai dit. |
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Comment
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Quoi vous voulez mon frère… |
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Comment
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Lorsque vous peignez des Héros, vous faites ce que vous voulez ; ce sont des portraits à plaisir, où l'on ne cherche point de ressemblance ; et vous n'avez qu'à suivre les traits d'une imagination qui se donne l'essor, et qui souvent laisse le vrai pour attraper le merveilleux. |
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Comment
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Je vois bien que vous voulez dire que la Cour ne se connaît pas à ces choses ; et c'est le refuge ordinaire de vous autres Messieurs les Auteurs, dans le mauvais succès de vos ouvrages, que d'accuser l'injustice du siècle, et le peu de lumière des Courtisans. |
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Comment
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