Ouais, Nourrice, Ma mie, vous vous mêlez de bien des choses. |
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Madame la Nourrice, comme vous dégoisez ! |
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Ah Nourrice, charmante Nourrice, ma Médecine est la très humble Esclave de votre Nourricerie ; et je voudrais bien être le petit Poupon fortuné, qui tétât le Lait de vos bonnes grâces. |
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Il fait semblant d'embrasser Lucas : et se tournant du côté de la Nourrice, il l'embrasse. |
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Mais, comme je m'intéresse à toute votre Famille, il faut que j'essaye un peu le Lait de votre Nourrice : et que je visite son Sein. |
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Ah Nourrice de mon cœur, je suis ravi de cette rencontre : et votre vue est la Rhubarbe, la Casse et le Séné qui purgent toute la Mélancolie de mon Âme. |
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Devenez malade, Nourrice, je vous prie, devenez malade pour l'amour de moi. |
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Pardonnez-moi, Nourrice, si je parle ainsi de votre mari. |
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Oui, sans doute, Nourrice, il les mérite : et il mériterait encore, que vous lui missiez quelque Chose sur la Tête, pour le punir des Soupçons qu'il a. |
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te voilà, Nourrice. |
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