Je veux de son rival alentir les transports ; |
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Dans ces divers transports je ne sais que répondre, |
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En pousse les transports jusqu'à la jalousie, |
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La voici, ma raison, renferme mes transports, |
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Et d'un capricieux, quels que soient les transports, |
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Il craindrait vos transports, et mon ressentiment ; |
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Oui, pour l'amour de toi, je retiens mes transports ; |
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Vos transports en ce lieu s'y peuvent apaiser, |
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Je ne sais pas de vrai quel homme il peut être, s'il faut qu'il nous ait fait cette perfidie, et je ne comprends point comme après tant d'amour et tant d'impatience témoignée, tant d'hommages pressants, de vœux, de soupirs, et de larmes, tant de lettres passionnées, de protestations ardentes et de serments réitérés, tant de transports enfin, et tant d'emportements qu'il a fait paraître, jusques à forcer dans sa passion l'obstacle sacré d'un Convent pour mettre Done Elvire en sa puissance, je ne comprends pas, dis-je, comme après tout cela il aurait le cœur de pouvoir manquer à sa parole. |
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tu veux qu'on se lie à demeurer au premier objet qui nous prend, qu'on renonce au monde pour lui, et qu'on n'ait plus d'yeux pour personne ; la belle chose de vouloir se piquer d'un faux honneur, d'être fidèle, de s'ensevelir pour toujours dans une passion, et d'être mort dès sa jeunesse pour toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux ; non non, la constance n'est bonne que pour des ridicules : toutes les belles ont droit de nous charmer, et l'avantage d'être rencontrée la première, ne doit point dérober aux autres les justes prétentions qu'elles ont toutes sur nos cœurs ; pour moi, la beauté me ravit partout où je la trouve, et je cède facilement à cette douce violence où elle nous entraine ; J'ai beau être engagé, l'amour que j'ai pour une belle n'engage point mon âme à faire une injustice aux autres ; Je conserve des yeux pour voir le mérite de toutes, et je rends à chacune les hommages et les tributs où la nature nous oblige ; quoi qu'il en soit je ne puis refuser mon cœur à tout ce que je vois d'aimable, et dès qu'un beau visage me le demande, si j'en avais dix mille, je les donnerais tous : les inclinations naissantes après tout ont des charmes inexplicables, et tout le plaisir de l'amour est dans le changement : on goûte une douceur extrême à réduire, par cent hommages, le cœur d'une jeune beauté, à voir de jour en jour les petits progrès qu'on fait, à combattre par des transports, par des larmes et des soupirs, l'innocente pudeur d'une âme qui a peine à rendre les armes, à forcer pied à pied toutes les petites résistances qu'elle nous oppose, à vaincre les scrupules dont elle se fait un honneur, et à la mener doucement où nous avons envie de la faire venir ; mais lorsqu'on est maître une fois, il n'y a plus rien à dire ni rien à souhaiter, tout le beau de la passion est fini, et nous nous endormons dans la tranquillité d'un tel amour, si quelque objet nouveau ne vient réveiller nos désirs, et présenter à notre cœur les charmes attrayants d'une conquête à faire ; enfin il n'est rien de si doux que de triompher de la résistance d'une belle personne, et j'ai sur ce sujet l'ambition des conquérants qui volent perpétuellement de victoire en victoire, et ne peuvent point se résoudre à borner leurs souhaits ; il n'est rien qui puisse arrêter l'impétuosité de mes désirs, je me sens porté à aimer toute la terre, et comme Alexandre je souhaiterais qu'il y eût d'autres mondes pour y pouvoir étendre mes conquêtes amoureuses. |
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et loin d'être saisi, à son aspect, des mêmes transports que je sens, vous faites voir pour lui des sentiments pleins de douceur ? |
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Pour rompre son dessein, et calmer ses transports. |
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Et lui plein de transports, et l'allégresse en l'âme |
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ma fille, je cède à des transports si doux. |
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Vous devez modérer vos transports, et l'outrage… |
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de mes Transports, puis-je être, ici, le Maître ? |
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Question
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Je suis ravie de voir vos désordres finis et des transports de joie que vous doit donner sa conduite. |
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D'autres transports de joie, et de tendresse. |
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Tous ces transports, toute cette tendresse, |
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Embrassez-moi, mes Enfants, et mêlez tous deux vos transports à ceux de votre Père. |
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Il lui présente sa bourse, qu'il ne laisse pourtant pas aller ; et dans ses transports il fait aller son bras de côté et d'autre, et Scapin le sien pour avoir la bourse. |
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Un amas de transports aussi doux qu'inconnus |
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Et l'on doit commencer toujours dans ses transports, |
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Mais pourquoi ces transports ? |
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Question
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Comme de ces transports on aime à faire gloire, |
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Comment
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