Figurez-vous, ma Sœur, quelle joie ce peut être, que de relever la fortune d'une Personne que l'on aime ; que de donner adroitement quelques petits secours aux modestes nécessités d'une vertueuse Famille ; et concevez quel déplaisir ce m'est, de voir que par l'avarice d'un Père, je sois dans l'impuissance de goûter cette joie, et de faire éclater à cette Belle aucun témoignage de mon amour. |
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