Mais… Je ne le veux pas. |
|
Comment
|
Mais… Je ne le veux pas. |
|
Comment
|
Si j'y retombe plus je veux bien qu'on m'affronte. |
|
Comment
|
Et veux, avec franchise, en deux mots vous l'apprendre. |
|
Comment
|
En quel lieu que ce soit, je veux suivre tes pas. |
|
Comment
|
Parbleu, puisque tu veux que j'aie une querelle, |
|
Comment
|
Et je veux que ce soit votre unique entretien. |
|
Comment
|
Et je veux, envers lui, que votre main m'acquitte. |
|
Comment
|
Je n'y manquerai pas ; et je veux y aller en Masque, afin de les mieux honorer. |
|
Comment
|
tu veux qu'on se lie à demeurer au premier objet qui nous prend, qu'on renonce au monde pour lui, et qu'on n'ait plus d'yeux pour personne ; la belle chose de vouloir se piquer d'un faux honneur, d'être fidèle, de s'ensevelir pour toujours dans une passion, et d'être mort dès sa jeunesse pour toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux ; non non, la constance n'est bonne que pour des ridicules : toutes les belles ont droit de nous charmer, et l'avantage d'être rencontrée la première, ne doit point dérober aux autres les justes prétentions qu'elles ont toutes sur nos cœurs ; pour moi, la beauté me ravit partout où je la trouve, et je cède facilement à cette douce violence où elle nous entraine ; J'ai beau être engagé, l'amour que j'ai pour une belle n'engage point mon âme à faire une injustice aux autres ; Je conserve des yeux pour voir le mérite de toutes, et je rends à chacune les hommages et les tributs où la nature nous oblige ; quoi qu'il en soit je ne puis refuser mon cœur à tout ce que je vois d'aimable, et dès qu'un beau visage me le demande, si j'en avais dix mille, je les donnerais tous : les inclinations naissantes après tout ont des charmes inexplicables, et tout le plaisir de l'amour est dans le changement : on goûte une douceur extrême à réduire, par cent hommages, le cœur d'une jeune beauté, à voir de jour en jour les petits progrès qu'on fait, à combattre par des transports, par des larmes et des soupirs, l'innocente pudeur d'une âme qui a peine à rendre les armes, à forcer pied à pied toutes les petites résistances qu'elle nous oppose, à vaincre les scrupules dont elle se fait un honneur, et à la mener doucement où nous avons envie de la faire venir ; mais lorsqu'on est maître une fois, il n'y a plus rien à dire ni rien à souhaiter, tout le beau de la passion est fini, et nous nous endormons dans la tranquillité d'un tel amour, si quelque objet nouveau ne vient réveiller nos désirs, et présenter à notre cœur les charmes attrayants d'une conquête à faire ; enfin il n'est rien de si doux que de triompher de la résistance d'une belle personne, et j'ai sur ce sujet l'ambition des conquérants qui volent perpétuellement de victoire en victoire, et ne peuvent point se résoudre à borner leurs souhaits ; il n'est rien qui puisse arrêter l'impétuosité de mes désirs, je me sens porté à aimer toute la terre, et comme Alexandre je souhaiterais qu'il y eût d'autres mondes pour y pouvoir étendre mes conquêtes amoureuses. |
|
Comment
|
Tu veux te mêler de raisonner, et tu ne sais pas seulement les Éléments de la Raison. |
|
Comment
|
Une licence épouvantable règne partout ; et les Magistrats, qui sont établis, pour maintenir l'ordre dans cet État, devraient rougir de honte, en souffrant un scandale aussi intolérable, que celui dont je veux parler. |
|
Comment
|
Et sans… Adieu, ma Bru, je ne veux plus rien dire. |
|
Comment
|
Veux tu répondre, te dis-je. |
|
Comment
|
Je veux vous parler de quelque chose. |
|
Comment
|
Il suffit, je n'en veux pas ouïr davantage, et je m'accuse moi-même d'en avoir trop entendu, c'est une lâcheté que de se faire expliquer trop sa honte, et sur de tels sujets, un noble cœur, au premier mot, doit prendre son parti ; n'attends pas que j'éclate ici en reproche et en injures, non, non, je n'ai point un courroux à exhaler une parole vaine, et toute sa chaleur se réserve pour ma vengeance ; je te le dis encore, le Ciel te punira, perfide, de l'outrage que tu me fais, et si le Ciel n'a rien que tu puisses appréhender, appréhende au moins la colère d'une femme offensée. |
|
Comment
|
Aga, quien, Charlotte, je m'en vas te conter tout fin drai comme cela est venu ça, comme dit l'autre, je les ai le premier avisés, avisés le premier je les ai ; enfin donc j'équions sur le bord de la mar, mo et le gros Lucas, et je nous amusions à batifoler avé des mottes de tarre, que je nous jesquions à la tête ; car comme tu sais bian, le gros Lucas aime à batifoler, et moi per fois je batifole i tou ; en batifolant donc, pisque batifoler y a, j'ai aperçu de tout loin queuque chose qui grouillait dans glieau, et qui venait comme envars nous per secousse, je voyais ça fisiblement, et pis tout d'un coup je voyais que je ne voyais plus rien ; eh Lucas ! ç'ay je fait, je pense que vlà des hommes qui nageant là-bas ; voire ce m'a-t-il fait, t'as été au trepassement d'un chat, t'as la vue trouble ; pal sanguienne, ç'ai je fait, je n'ai point la vue trouble, ce sont des hommes ; point du tout ce m'a-t-il fait, t'as la barlue ; veux tu gager, ç'ai je fait, que je n'ai point la barlue, ç'ai je fait, et que ce sont des hommes, ç'ai je fait qui nageant drai ici, ç'ai je fait ; morguenne ce m'a-t-il fait, je gage que non ; o ça ç'ai je fait, veux tu gager dix sols que si ? |
|
Question
|
que veux tu ? |
|
Question
|
Jerniguienne je veux que tu m'aimes. |
|
Comment
|
Je veux que l'on fasse comme l'on fait quand l'on aime comme il faut. |
|
Comment
|
Je veux pour espion qui soit d'exacte vue, |
|
Comment
|
Et bien, belle Charlotte, je veux tout ce que vous voulez, abandonnez-moi seulement votre main, et souffrez, que par cent baisers je lui exprime le ravissement où je suis. |
|
Comment
|
Je vous veux parler auparavant. |
|
Comment
|
je ne veux pas moi. |
|
Comment
|
Je veux lui dire, moi. |
|
Comment
|