vouloir

Item

Title

vouloir

preferred label

vouloir

Linked resources

Filter by property

is in semantic relation with
Title Alternate label Class
C'est trop que de vouloir le battre en ma présence. Comment
Sans vouloir vous flatter, et vous déguiser rien ; Comment
De vouloir à présent concevoir l'espérance Comment
À me vouloir parler ? Question
À me vouloir parler ? Question
Voyez quelle bonté de vouloir me venger : Comment
Et vouloir à ma barbe en faire votre bien, Comment
Je ne suis point d'humeur à vouloir contre vous Comment
Que vouloir plus avant pousser de tels aveux. Comment
Mais vouloir vous contraindre à n'être point jaloux, Comment
J'aurais tort de vouloir vous faire violence ; Comment
Qui ne saurait haïr, ne peut vouloir qu'on meure. Comment
Cette chaleur si prompte, à vouloir la défendre, Comment
Pour vouloir les cacher, lorsqu'on me les demande : Comment
De vouloir dans vos maux lutter contre le sort. Comment
L'on réduite à vouloir se servir de moi-même ; Comment
Mais il faut, pour le moins, qu'elle ose le vouloir ; Comment
Il sied mal de vouloir être plus sage, que celles qui sont sages. Comment
que vous êtes méchante, de me vouloir rendre suspecte à Madame. Comment
Je dirai que cela est digne du Caractère qu'elle a pris ; et qu'il y a des personnes, qui se rendent ridicules, pour vouloir avoir trop d'honneur. Comment
Sans vouloir dire un mot à ce sot ignorant. Comment
Qui me puisse obliger à lui vouloir du bien. Comment
tu veux qu'on se lie à demeurer au premier objet qui nous prend, qu'on renonce au monde pour lui, et qu'on n'ait plus d'yeux pour personne ; la belle chose de vouloir se piquer d'un faux honneur, d'être fidèle, de s'ensevelir pour toujours dans une passion, et d'être mort dès sa jeunesse pour toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux ; non non, la constance n'est bonne que pour des ridicules : toutes les belles ont droit de nous charmer, et l'avantage d'être rencontrée la première, ne doit point dérober aux autres les justes prétentions qu'elles ont toutes sur nos cœurs ; pour moi, la beauté me ravit partout où je la trouve, et je cède facilement à cette douce violence où elle nous entraine ; J'ai beau être engagé, l'amour que j'ai pour une belle n'engage point mon âme à faire une injustice aux autres ; Je conserve des yeux pour voir le mérite de toutes, et je rends à chacune les hommages et les tributs où la nature nous oblige ; quoi qu'il en soit je ne puis refuser mon cœur à tout ce que je vois d'aimable, et dès qu'un beau visage me le demande, si j'en avais dix mille, je les donnerais tous : les inclinations naissantes après tout ont des charmes inexplicables, et tout le plaisir de l'amour est dans le changement : on goûte une douceur extrême à réduire, par cent hommages, le cœur d'une jeune beauté, à voir de jour en jour les petits progrès qu'on fait, à combattre par des transports, par des larmes et des soupirs, l'innocente pudeur d'une âme qui a peine à rendre les armes, à forcer pied à pied toutes les petites résistances qu'elle nous oppose, à vaincre les scrupules dont elle se fait un honneur, et à la mener doucement où nous avons envie de la faire venir ; mais lorsqu'on est maître une fois, il n'y a plus rien à dire ni rien à souhaiter, tout le beau de la passion est fini, et nous nous endormons dans la tranquillité d'un tel amour, si quelque objet nouveau ne vient réveiller nos désirs, et présenter à notre cœur les charmes attrayants d'une conquête à faire ; enfin il n'est rien de si doux que de triompher de la résistance d'une belle personne, et j'ai sur ce sujet l'ambition des conquérants qui volent perpétuellement de victoire en victoire, et ne peuvent point se résoudre à borner leurs souhaits ; il n'est rien qui puisse arrêter l'impétuosité de mes désirs, je me sens porté à aimer toute la terre, et comme Alexandre je souhaiterais qu'il y eût d'autres mondes pour y pouvoir étendre mes conquêtes amoureuses. Comment
Je ne suis pas un homme à vouloir rien pour rien, Comment
Je ne parle pas aussi à vous, Dieu m'en garde, vous savez ce que vous faites, et si vous ne croyez rien vous avez vos raisons : il y a de certains petits impertinents dans le monde, qui sont libertins sans savoir pourquoi, qui font les esprits forts parce qu'ils croient que cela leur sied bien, et si j'avais un maître comme cela, je lui dirais fort nettement, le regardant en face, osez-vous bien ainsi vous jouer du Ciel, et ne tremblez-vous point de vous moquer comme vous faites des choses les plus saintes c'est bien à vous petit ver de terre, petit myrmidon que vous êtes (je parle au maître que j'ai dit) c'est bien à vous à vouloir vous mêler de tourner en raillerie ce que tous les hommes révèrent ; pensez-vous que pour être de qualité, pour avoir une perruque blonde et bien frisée, des plumes à votre chapeau, un habit bien doré, et des rubans couleur de feu (ce n'est pas à vous que je parle, c'est à l'autre) pensez-vous dis-je que vous en soyez plus habile homme, que tout vous soit permis et qu'on n'ose vous dire vos vérités ? Question