N'est-ce pas une chose épouvantable, qu'un Fils qui veut entrer en concurrence avec son Père ? |
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Question
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Hé bien, votre Père n'est pas si déraisonnable que vous le faites ; et il m'a témoigné que ce sont vos emportements qui l'ont mis en colère ; qu'il n'en veut seulement qu'à votre manière d'agir, et qu'il sera fort disposé à vous accorder ce que vous souhaitez, pourvu que vous vouliez vous y prendre par la douceur, et lui rendre les déférences, les respects, et les soumissions qu'un Fils doit à son père. |
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Comment
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Je vous demande pardon, mon Père, de l'emportement que j'ai fait paraître. |
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Comment
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Je vous promets, mon Père, que jusques au tombeau, je conserverai dans mon cœur le souvenir de vos bontés. |
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Comment
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mon Père, je ne vous demande plus rien ; et c'est m'avoir assez donné, que de me donner Mariane. |
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Comment
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Je dis, mon Père, que je suis trop content de vous ; et que je trouve toutes choses dans la bonté que vous avez de m'accorder Mariane. |
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Comment
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Vous, mon Père. |
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Comment
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Le trésor de votre Père, que j'ai attrapé. |
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Comment
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Fille indigne d'un Père comme moi ! |
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Comment
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mon père, prenez des sentiments un peu plus humains, je vous prie, et n'allez point pousser les choses dans les dernières violences du pouvoir paternel : Ne vous laissez point entraîner aux premiers mouvements de votre passion, et donnez-vous le temps de considérer ce que vous voulez faire. |
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Comment
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Oui, mon Père, c'est celui qui me sauva de ce grand péril que vous savez que je courus dans l'eau, et à qui vous devez la vie de cette même fille, dont… |
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Comment
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Mon père, je vous conjure, par l'amour paternel, de me… |
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Comment
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Que j'ai su depuis peu, que mon Père n'était point mort, comme je l'avais toujours cru ; que passant ici pour l'aller chercher, une aventure par le Ciel concertée, me fit voir la charmante Élise ; que cette vue me rendit esclave de ses beautés ; et que la violence de mon amour, et les sévérités de son Père, me firent prendre la résolution de m'introduire dans son Logis, et d'envoyer un autre à la quête de mes Parents. |
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Comment
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Le Capitaine Espagnol ; un cachet de rubis qui était à mon Père ; un bracelet d'agate que ma Mère m'avait mis au bras ; le vieux Pedro, ce Domestique, qui se sauva avec moi du naufrage. |
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Comment
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Après dix ans d'esclavage, une heureuse fortune nous rendit notre liberté, et nous retournâmes dans Naples, où nous trouvâmes tout notre bien vendu, sans y pouvoir trouver des nouvelles de notre Père. |
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Comment
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Embrassez-moi, mes Enfants, et mêlez tous deux vos transports à ceux de votre Père. |
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Comment
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Vous êtes notre Père ? |
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Question
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Ne vous tourmentez point, mon Père, et n'accusez personne. |
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Comment
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Mais vous ne savez pas, que ce n'est pas assez que ce consentement ; et que le Ciel, avec un Frère que vous voyez, vient de me rendre un Père dont vous avez à m'obtenir. |
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Comment
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Seigneur Harpagon, vous jugez bien que le choix d'une jeune personne tombera sur le Fils plutôt que sur le Père. |
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Comment
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Par ma foi, voilà votre Père ! |
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Comment
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Assurément.Votre Père se moque-t-il de vouloir vous anger de son Avocat de Limoges, Monsieur de Pourceaugnac, qu'il n'a vu de sa vie, et qui vient par le Coche vous enlever à notre barbe ? |
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Question
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À qui mon Père les a mandées par une Lettre ? |
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Question
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Au moins, Madame, souvenez-vous de votre Rôle ; et pour mieux couvrir notre jeu,
feignez, comme on vous a dit, d'être la plus contente du monde des résolutions de
votre Père. |
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Comment
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Je déclarerai à mon Père mes véritables sentiments. |
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Comment
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