Non, mon Père, je vous l'ai dit, il n'est point de pouvoir qui me puisse obliger à prendre un autre Mari que Cléonte ; et je me résoudrai plutôt à toutes les extrémités, que de… reconnaissant Cléonte. |
|
Comment
|
Il est vrai que vous êtes mon Père, je vous dois entière obéissance ; et c'est à vous à disposer de moi selon vos volontés. |
|
Comment
|
Voilà votre Fille qui consent aux volontés de son Père. |
|
Comment
|
Père des Dieux, Souverain des mortels, |
|
Comment
|
Vous savez comme moi que les démêlés de nos deux familles, ne nous permettent point de nous voir autre part, et que mes Frères, non plus que votre Père, ne sont pas assez raisonnables pour souffrir notre attachement. |
|
Comment
|
Comme un tel fils est né d'un père de la sorte, |
|
Comment
|
Mais enfin j'y souscris, courons trouver ce père, |
|
Comment
|
Ah, ah, je vous ferai sentir que je suis père. |
|
Comment
|
Faire mourir son père, |
|
Comment
|
J'y vais mon père. |
|
Comment
|
Et son père a conclu l'affaire avec moi. |
|
Comment
|
Mais mon père a pour lui quelque froideur secrète. |
|
Comment
|
Votre père en conçut dans le coeur un dépit, |
|
Comment
|
Dans le père et le fils n'ont mis aucun rapport, |
|
Comment
|
Et que souvent l'honneur et la vertu du père |
|
Comment
|
Mais enfin je suis fille, et je dépends d'un père. |
|
Comment
|
père trop cruel ! |
|
Comment
|
Mon père est en ce lieu. |
|
Comment
|
Vous ne la cherchez pas, un père vous l'apporte ; |
|
Comment
|
Mon père, laissez-moi, cessez vos remontrances, |
|
Comment
|
Père trop malheureux d'un enfant exécrable ! |
|
Comment
|
Pour père maintenant je ne vous puis connaître, |
|
Comment
|
Auraient besoin d'un père et seraient en ses mains ; |
|
Comment
|
Un père à tes genoux t'en prie avec des larmes. |
|
Comment
|
Qu'à ton père à genoux tu sois tant inhumain, |
|
Comment
|