Que de laisser régner les tendresses de Père |
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Un Coquin, qui doit par cent raisons être le premier à cacher les choses que je lui confie, est le premier à les aller découvrir à mon Père. |
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Mon Père et ma Mère n'ont jamais voulu de remèdes, et ils sont morts tous deux sans l'assistance des Médecins. |
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mon Père, et ma Mère, que je vous veux de mal ! |
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Mais je veux venir au fait, et que tu me confesses ce que tu as dit à mon Père. |
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À votre Père ? |
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Question
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Oui, Fripon, à mon Père. |
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Cela ne vous offense point, il ne tombe entre lui et vous aucun soupçon de ressemblance ; et vous savez assez l'opinion de tout le monde, qui veut qu'il ne soit votre Père que pour la forme. |
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Que pour peu qu'un Père de Famille ait été absent de chez lui, il doit promener son esprit sur tous les fâcheux accidents que son retour peut rencontrer ; se figurer sa Maison brûlée, son argent dérobé, sa Femme morte, son Fils estropié, sa Fille subornée ; et ce qu'il trouve qu'il ne lui est point arrivé, l'imputer à bonne fortune. |
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Comment
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Je l'ai mis sur ce Mariage ; lui ai fait voir quelle facilité offrait la raison de la violence, pour le faire casser ; vos prérogatives du nom de Père, et l'appui que vous donnerait auprès de la Justice et votre droit, et votre argent, et vos Amis. |
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Comment
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Un Père vous doit être encor plus cher que moi. |
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Voilà le Père. |
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On vient de me dire, mon Père, que Monsieur de Pourceaugnac est arrivé. |
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Comment
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Mais le Ciel me sera témoin que j'ai fait pour toi tout ce que j'ai pu ; et que si tu manques à être racheté, il n'en faut accuser que le peu d'amitié d'un Père. |
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Voilà deux cents Pistoles que j'ai tirées de votre Père. |
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Mais à condition que vous me permettrez à moi, une petite vengeance contre votre Père, pour le tour qu'il m'a fait. |
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C'est ce que je veux croire, puisque vous me le dites ; mais du côté du Père, j'y prévois des empêchements. |
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Mais pour moi je ne rencontre aucun secours dans ce que je puis être, et l'on me voit dans un état qui n'adoucira pas les volontés d'un Père qui ne regarde que le bien. |
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Comment
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Et quand le Père aura été averti par moi… |
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quelle fâcheuse nouvelle pour un Père ! |
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De deux Sœurs, et du Roi mon Père, |
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Allons, vous viendrez malgré vous, et je veux vous remettre entre les mains de votre Père. |
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Comment
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Ce tendre souvenir d'un Père et de deux Sœurs |
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Je ne vous blâme point de vous être soumise aux volontés de Monsieur votre Père ; il est sage et judicieux dans les choses qu'il fait, et je ne me plains point de lui de m'avoir rejeté pour un autre. |
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Comment
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On lui a fait croire que cet autre est plus riche que moi de quatre ou cinq mille écus ; et quatre ou cinq mille écus est un denier considérable, et qui vaut bien la peine qu'un Homme manque à sa parole : Mais oublier en un moment toute l'ardeur que je vous ai montrée, vous laisser d'abord enflammer d'amour pour un nouveau venu, et le suivre honteusement sans le consentement de Monsieur votre Père, après les crimes qu'on lui impute, c'est une chose condamnée de tout le monde, et dont mon cœur ne peut vous faire d'assez sanglants reproches. |
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Comment
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