Taisez-vous, ma bonté, cessez votre entretien ; |
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Allons taisez-vous, la paix. |
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Morbleu, Messieurs, taisez-vous, quand Dieu ne vous a pas donné la connaissance d'une chose ; n'apprêtez point à rire à ceux qui vous entendent parler ; et songez qu'en ne disant mot, on croira, peut-être, que vous êtes d'habiles gens. |
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Taisez-vous. |
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Taisez-vous. |
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Taisez-vous. |
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Taisez-vous. |
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Taisez-vous. |
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Taisez-vous, et songez aux choses que vous dites. |
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C'est prendre trop de soin ; taisez-vous, s'il vous plaît. |
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Taisez-vous, vous. |
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Taisez-vous. |
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Taisez-vous. |
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Taisez-vous ; c'est le mot qu'il vous faut toujours dire. |
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Taisez-vous, carogne que vous êtes. |
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Taisez-vous, bonne pièce. |
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Taisez-vous, vous dis-je, vous pourriez bien porter la folle enchère de tous les autres. |
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Taisez-vous, notre Ménagère Jaquelaine : ce n'est pas à vous, à bouter là votre nez. |
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Taisez-vous, je vous prie, vous prenez trop de soin, et vous échauffez votre Lait. |
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Taisez-vous. |
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Taisez-vous, c'est une extravagance qui n'est pas supportable. |
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Taisez-vous, ma Servante, et ma Femme. |
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Taisez-vous, vous dis-je, vous êtes des ignorantes l'une et l'autre, et vous ne savez pas les prérogatives de tout cela. |
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Taisez-vous. |
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Taisez-vous, vous dis-je. |
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Comment
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