Donnez-en à mon cœur les preuves qu'il prétend. |
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C'est de flatter toujours le faible de leur cœur : |
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qu'est-ce que mon cœur, trop digne de pitié, |
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Son coeur, comme sa main, se fait connaître ici ; |
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que ce cœur est double, et sait bien l'art de feindre ; |
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Bien que de vous mon cœur ne prenne point de loi, |
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La gloire sur mon cœur aurait si peu d'empire, |
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Apprenez que ce cœur ne sait point s'abaisser, |
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Ni le vif repentir que mon cœur vous expose ; |
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Sous ses cuisants remords fait succomber mon cœur ; |
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Ce cœur, ce traître cœur, dont les perplexités, |
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Un cœur ne peut jamais outrager quand il aime, |
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D'imprimer quelque crainte au cœur de Mauregat. |
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Moi, je dis que d'un cœur que nous pouvons chérir, |
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Et réduit tout mon cœur que ce mal persécute, |
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Et puisque notre cœur fait un effort extrême, |
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Et qu'il est dangereux qu'un cœur qu'on a charmé, |
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Tout mon cœur a senti par de trop rudes coups |
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Je sais, Seigneur, je sais, que vous avez un cœur, |
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Oui, Madame, mon cœur doit cesser de s'en plaindre, |
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Un cœur à d'autres yeux offert en sacrifice, |
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Vous conserve le cœur de l'aimable Comtesse ; |
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Et rendez à son cœur, ce que vous lui devez. |
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Et si mon cœur vous dit, ce que pour elle il sent, |
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Sortir de votre chaîne, et rejeter mon cœur, |
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