De ce qu'au fond du cœur nous souhaitions le moins. |
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Et c'est assez, je crois, pour remettre ton Cœur |
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Sors donc des noirs chagrins, que ton Cœur a soufferts ; |
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Oui, Messieurs, avant que de rendre le dernier soupir, je vous conjure de tout mon cœur, de vouloir me pardonner tous ce que je puis avoir fait, et principalement le Seigneur Argante, et le Seigneur Géronte. |
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Dans un cœur tout à vous que vous pénétrez mal ! |
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Mon cœur en est ravi, mes sens en sont charmés ; |
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Si je pouvais ravir votre cœur, je serais… |
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C'est-à-dire : Monsieur Jourdain, votre cœur soit toute l'année comme un rosier fleuri. |
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Quand il aurait appris son rôle par cœur, il ne pourrait pas le mieux jouer. |
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Il est entièrement à vous, aussi bien que mon cœur, et vous en userez de la façon qu'il vous plaira. |
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Cela n'est rien, j'excuse en elle un pareil mouvement ; votre cœur lui doit être précieux, et il n'est pas étrange que la possession d'un Homme comme vous puisse inspirer quelques alarmes. |
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La possession de mon cœur est une chose qui vous est toute acquise. |
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Pour regagner son cœur, et finir mon tourment, |
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Que vous avez un cœur et des appas |
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Le charme de mes yeux, et le choix de mon cœur. |
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Je vous l'avoue, il me touche le cœur, |
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Mais quand un cœur est enivré d'Amour, |
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Iris, comme vous le voyez, est mis là pour Julie. |
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Parce qu'un autre choix est maître de mon cœur. |
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Je vois que vous vous faites là bien plus maltraité que vous n'êtes ; mais c'est une licence que prennent Messieurs les Poètes, de mentir de gaieté de cœur, et de donner à leurs Maîtresses des cruautés qu'elles n'ont pas, pour s'accommoder aux pensées qui leur peuvent venir. |
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Je vois que vous vous faites là bien plus maltraité que vous n'êtes ; mais c'est une licence que prennent Messieurs les Poètes, de mentir de gaieté de cœur, et de donner à leurs Maîtresses des cruautés qu'elles n'ont pas, pour s'accommoder aux pensées qui leur peuvent venir. |
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Dans le dessein que j'ai de m'assurer son cœur. |
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Comment
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Je ne sais pas si vous doutez de mon parfait amour ;
Mais je sais bien que mon cœur à toute heure
Veut quitter sa chagrine demeure,
Pour aller par respect faire au vôtre sa Cour :
Après cela pourtant, sûre de ma tendresse,
Et de ma foi, dont unique est l'espèce,
Vous devriez à votre tour
Vous contentant d'être Comtesse,
Vous dépouiller en ma faveur, d'une peau de tigresse,
Qui couvre vos appas, la nuit comme le jour. |
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Comment
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Je ne sais pas si vous doutez de mon parfait amour ;
Mais je sais bien que mon cœur à toute heure
Veut quitter sa chagrine demeure,
Pour aller par respect faire au vôtre sa Cour :
Après cela pourtant, sûre de ma tendresse,
Et de ma foi, dont unique est l'espèce,
Vous devriez à votre tour
Vous contentant d'être Comtesse,
Vous dépouiller en ma faveur, d'une peau de tigresse,
Qui couvre vos appas, la nuit comme le jour. |
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Comment
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Mais je sais bien que mon cœur à toute heure |
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