| Je le voudrais de tout mon cœur. |
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Comment
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| Hé bien, mon Père, puisque les choses sont ainsi, il faut vous découvrir mon cœur, il faut vous révéler notre secret. |
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Comment
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| Et pour s'exprimer tout, ce Cœur a du dépit, |
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Comment
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| Avez-vous bien le cœur de me traiter ainsi ? |
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Question
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| Vous l'avez dans mon Cœur, par cent vives blessures, |
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Comment
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| Je vous promets, mon Père, que jusques au tombeau, je conserverai dans mon cœur le souvenir de vos bontés. |
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Comment
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| L'emportement d'un Cœur, qui peut s'être abusé, |
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Comment
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| Mais que de Gaieté de cœur, |
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Comment
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| D'un Cœur, qui chèrement nous aime ? |
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Question
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| Il a pour vous, ce Cœur, pour jamais y penser, |
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Comment
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| Mais mon Cœur vous demande grâce. |
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Comment
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| Si votre Cœur, charmante Alcmène, |
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Comment
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| Voici justement ce qu'il me faut pour me venger de notre Intendant : depuis qu'il est entré céans, il est le favori, on n'écoute que ses conseils ; et j'ai aussi sur le cœur les coups de bâton de tantôt. |
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Comment
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| Ce Cœur, ce traître Cœur, trop digne d'expirer, |
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Comment
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| Tient-il contre un remords d'un Cœur bien enflammé ? |
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Question
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| Un Cœur bien plein de flamme, à mille morts s'expose, |
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Comment
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| Ne puisse de mon Cœur, jusqu'à cette vengeance, |
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Comment
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| Mon Cœur a trop su me trahir. |
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Comment
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| Pour avoir le repos du Cœur ! |
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Comment
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| Ce n'est pas mon dessein de me faire épouser par force, et de rien prétendre à un cœur qui se serait donné ; mais pour vos intérêts, je suis prêt à les embrasser ainsi que les miens propres. |
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Comment
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| Sachez que j'ai le cœur trop bon, pour me parer de quelque chose qui ne soit point à moi, et que tout Naples peut rendre témoignage de ma naissance. |
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Comment
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| Monsieur, votre Homme arrive, je l'ai vu à trois lieues d'ici, où a couché le Coche ;
et dans la Cuisine où il est descendu pour déjeuner, je l'ai étudié une bonne grosse
demie heure, et je le sais déjà par cœur. |
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Comment
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| Mon Dieu, Éraste, contentez-vous de ce que je fais maintenant, et n'allez point
tenter sur l'avenir les résolutions de mon cœur : ne fatiguez point mon devoir par les
propositions d'une fâcheuse extrémité dont peut-être n'aurons-nous pas besoin ; et
s'il y faut venir, souffrez au moins que j'y sois entraînée par la suite des
choses. |
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Comment
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| C'est du fond du cœur que je parle. |
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Comment
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| Leur pourrait donner son cœur. |
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Comment
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