Tous les autres médecins ne sont, à mon égard, que des avortons de médecine. |
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Il faut avouer que tous ceux qui excellent en quelque science sont dignes de grande louange, et particulièrement ceux qui font profession de la médecine, tant à cause de son utilité, que parce qu'elle contient en elle plusieurs autres sciences, ce qui rend sa parfaite connaissance fort difficile ; et c'est fort à propos qu'Hippocrate dit dans son premier aphorisme : Vita brevis, ars vero longa, occasio autem praeceps, experimentum periculosum, judicium difficile. |
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Vous n'êtes pas de ces médecins qui ne vous appliquez qu'à la médecine qu'on appelle rationale ou dogmatique, et je crois que vous l'exercez tous les jours avec beaucoup de succès : experientia magistra rerum. |
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Vos yeux peuvent eux seuls empêcher sa ruine,
Et du mal qu'ils ont fait être la médecine. |
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Et du mal qu'ils ont fait être la médecine. |
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Comment Monsieur, vous êtes aussi impie en Médecine. |
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Mais laissons-là la Médecine, où vous ne croyez point, et parlons des autres choses ; car cet habit me donne de l'esprit, et je me sens en humeur de disputer contre vous ; vous savez bien que vous me permettez les disputes, et que vous ne me défendez que les Remontrances. |
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Il va vêtu d'une façon extravagante, affecte, quelquefois, de paraître ignorant, tient sa Science renfermée, et ne fuit rien tant tous les jours, que d'exercer les merveilleux Talents qu'il a eus du Ciel, pour la Médecine. |
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Ah Nourrice, charmante Nourrice, ma Médecine est la très humble Esclave de votre Nourricerie ; et je voudrais bien être le petit Poupon fortuné, qui tétât le Lait de vos bonnes grâces. |
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Je l'attends, Monsieur, avec toute la Médecine. |
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Allons, Monsieur, vous m'avez donné pour votre amour, une Tendresse qui n'est pas concevable : et j'y perdrai toute ma Médecine, ou la Malade crèvera, ou bien elle sera à vous. |
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Ma foi, ma foi, vous ne pouviez pas vous adresser à un Médecin plus habile ; c'est un Homme qui sait la Médecine à fond, comme je sais ma Croix-de-Pardieu ; et qui, quand on devrait crever, ne démordrait pas d'un iota des règles des Anciens. |
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Voilà le fin cela, voilà le fin de la Médecine. |
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Si vous êtes Médecins, je n'ai que faire de vous ; et je me moque de la Médecine. |
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Il est lié et engagé à mes remèdes, et je veux le faire saisir où je le trouverai, comme Déserteur de la Médecine, et Infracteur de mes Ordonnances. |
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Aussi l'est-il, et il s'en est fui de chez moi, après y avoir été mis ; mais je vous défends de la part de la Médecine, de procéder au mariage que vous avez conclu, que je ne l'aie dûment préparé pour cela, et mis en état de procréer des Enfants bien conditionnés et de corps et d'esprit. |
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Votre prétendu Gendre a été constitué mon Malade : Sa Maladie qu'on m'a donné à guérir, est un meuble qui m'appartient, et que je compte entre mes effets ; et je vous déclare que je ne prétends point qu'il se marie, qu'au préalable il n'ait satisfait à la Médecine, et subi les remèdes que je lui ai ordonnés. |
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