Mais pourtant, quand je veux, j'ai l'imaginative |
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Pourtant je n'en ai point sujet. |
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Pourtant, je veux poursuivre, et malgré tous ces coups, |
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Pourtant, en ce discours je n'ai rien avancé, |
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Qui pour armes, pourtant, mousquets, dagues ou flèches, |
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Pourtant, après ce temps, une secrète envie |
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Le doute est mieux fondé ; pourtant je n'en crois rien. |
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Comment
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Au diantre qui pourtant rien du tout en fera : |
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Je l'étais peu pourtant ; mais on en voit paraître, |
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Comment
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Pourtant je n'ay jamais affecté de le dire ; |
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Elle se défend bien de ce nom, pourtant. |
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Adieu console-toi, pourtant, de ton malheur. |
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Si pourtant votre Époux… |
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Comment
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Si pourtant votre Époux… Ah ! |
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Comment
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Pourtant, si vous vouliez… |
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Qui, chez elles, pourtant, ne fixent point d'Amants ; |
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Pourtant, quand je me tâte, et que je me rappelle, |
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Il est vrai ; mais vingt années de moins pourtant ne me feraient point de mal, que je crois. |
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C'est de sa bouche que je le tiens pourtant. |
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Je ne sais pas si vous doutez de mon parfait amour ;
Mais je sais bien que mon cœur à toute heure
Veut quitter sa chagrine demeure,
Pour aller par respect faire au vôtre sa Cour :
Après cela pourtant, sûre de ma tendresse,
Et de ma foi, dont unique est l'espèce,
Vous devriez à votre tour
Vous contentant d'être Comtesse,
Vous dépouiller en ma faveur, d'une peau de tigresse,
Qui couvre vos appas, la nuit comme le jour. |
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Comment
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Je ne sais pas si vous doutez de mon parfait amour ;
Mais je sais bien que mon cœur à toute heure
Veut quitter sa chagrine demeure,
Pour aller par respect faire au vôtre sa Cour :
Après cela pourtant, sûre de ma tendresse,
Et de ma foi, dont unique est l'espèce,
Vous devriez à votre tour
Vous contentant d'être Comtesse,
Vous dépouiller en ma faveur, d'une peau de tigresse,
Qui couvre vos appas, la nuit comme le jour. |
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Comment
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Après cela pourtant, sûre de ma tendresse, |
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Comment
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Après cela pourtant, sûre de ma tendresse, |
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Comment
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Ma foi, Monsieur, pourtant, alors qu'on envisage |
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Comment
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