Vous-même, vous voyez ce que je viens de lire : |
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Qu'on vous voit nuit et jour à lire vos Romans, |
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C'est ce que vous voudrez, dépêchez-vous de lire. |
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Achevez de lire, |
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De tout ce que pour vous, vous y venez de lire. |
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De lire les billets qu'un homme lui fait rendre, |
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C'est un placet, Monsieur, que je voudrais vous lire ; |
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Mais pour l'heure présente il ne faut rien que lire. |
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Oui, vous êtes un Sot, et un Impudent, de vouloir disputer contre un Docteur, qui sait lire, et écrire. |
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Qu'il faudrait, pour le lire, être pis que Démon. |
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Mais ceci vaut, assez, la peine de le lire. |
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Tu sais donc lire, Lubin ? |
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Question
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Allez-vous-en lire un peu les préceptes de la santé, et demander aux Médecins s'il y a rien de plus préjudiciable à l'Homme que de manger avec excès. |
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Je vous donne la liberté de le lire tout haut, je ne l'ai point encore vu. |
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Comment
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Je vous donne la liberté de le lire tout haut, je ne l'ai point encore vu. |
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