| Tenez ma Robe. |
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| Au rang que vous tenez, Seigneur, fait trop d'injure, |
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| Tenez, voilà le plus bel Habit de la Cour, et le mieux assorti. |
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| Tenez, voilà pour Mon Gentilhomme. |
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| Tenez, voilà ce que Monseigneur vous donne. |
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| Tenez, voilà pour ma Grandeur. |
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| Tenez, Monsieur, battez-moi plutôt, et me laissez rire tout mon soûl, cela me fera plus de bien. |
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| Tenez, voilà cinq cents Écus. |
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| Tenez, Monsieur. |
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| Tenez, Monsieur. |
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| Tenez, Monsieur, voilà votre Fille que j'ai tirée de force d'entre les mains de l'Homme avec qui elle s'enfuyait ; non pas pour l'amour d'elle, mais pour votre seule considération : car après l'action qu'elle a faite, je dois la mépriser, et me guérir absolument de l'amour que j'avais pour elle. |
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| Vous qui tenez de ma puissance |
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| Tenez encore ce manchon, ne laissez point traîner tout cela, et portez-le dans ma garde-robe. |
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| Tenez encore ce manchon, ne laissez point traîner tout cela, et portez-le dans ma garde-robe. |
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| Mais puisque sur le fier vous vous tenez si bien, |
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| Tenez, c'est un billet de Monsieur Tibaudier, qui m'envoie des poires. |
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| Tenez, c'est un billet de Monsieur Tibaudier, qui m'envoie des poires. |
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| Vous tenez dans ma main sa peine et mon trépas, |
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