Que j'aurai de plaisir si l'on le fait cocu. |
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Mais je sais que pour vous, si vous manquez de l'être, |
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Ô que les voilà bien tous formés l'un pour l'autre ! |
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Et pour l'en empêcher dans peu nous prétendons, |
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Que l'on dit à la Cour, et qu'on tient pour fidèles ? |
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Question
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Mais l'injuste rigueur, dont envers moi l'on use, |
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Des gens à qui l'on peut donner quelque crédit : |
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L'on réduite à vouloir se servir de moi-même ; |
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Ma foi les filles sont ce que l'on les fait être. |
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Voyez, on ne l'a pas au moins décachetée, |
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Il connaîtra l'état que l'on fait de ses feux, |
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Qui l'ont instruit sitôt du dessein que vous faites, |
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Et son amour conserve ainsi que je l'ai su, |
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Nous sommes ici seuls, et l'on peut, ce me semble, |
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L'un par un juste choix où l'honneur m'intéresse, |
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Et l'autre pour le prix de son affection, |
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La présence de l'un m'est agréable et chère, |
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Que l'on me vît connu d'un pareil éventé. |
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Et l'autre par sa vue inspire dans mon cœur |
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Je l'étais peu pourtant ; mais on en voit paraître, |
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Me voir femme de l'un est toute mon envie, |
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Il m'a fait, à l'abord, cent questions frivoles, |
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Comment
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Et plutôt qu'être à l'autre, on m'ôterait la vie ; |
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Comment
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Où l'on ait des Maris si patients qu'ici ? |
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Question
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L'un amasse du bien, dont sa Femme fait part |
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Comment
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