| Méritez les regards que l'on jette sur eux ; |
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| C'est l'unique faveur que demande ma flamme. |
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| Ainsi quelque dépit que l'on vous ait causé, |
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| Ainsi dans le pardon que l'on vient d'obtenir, |
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| Après l'avoir aidé, jusqu'à l'heure dernière, |
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| Et l'on prendra le soin de vous en avertir. |
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| Mais sachez qu'on n'est pas encore où l'on prétend. |
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| Et l'on verra peut-être arriver bien des choses ; |
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| A de l'abord du Comte éventé le secret, |
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| S'opposent à l'effet de ces justes desseins ; |
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| Quand j'ai cru qu'en ces lieux elle l'ait introduit, |
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| D'une vertu sincère à qui l'on fait outrage : |
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| Allez, vous m'entendez, dites que je l'en prie. |
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| Ces soupçons obligeants que l'on me fait paraître, |
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| Pour fuir l'autorité qui l'a persécutée, |
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| L'a prévenu lui-même, en immolant le traître, |
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| Je suis digne du coup que l'on me fait attendre, |
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| Et veuille que ce Frère, où l'on va m'exposer |
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| Mais par Ce Cavalier, l'un de ses plus fidèles, |
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| Sur quoi l'on m'a tant fait d'inutiles leçons ; |
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| Oui, l'on doit me haïr avec trop de raison, |
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| L'un et l'autre excès choque, et tout homme bien sage |
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| Mais je tiens qu'il est mal sur quoi que l'on se fonde, |
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| Je me charge de tout, en cas que l'on vous gronde. |
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| Lorsque l'on a du bien, permettre aux jeunes filles, |
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Comment
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