| L'on m'appellera sot de ne me venger pas ; |
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Comment
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| Sans que l'on ait sujet de s'en scandaliser. |
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Comment
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| L'on ne demandait pas carogne ta venue, |
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Comment
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| Allez, ne croyez pas que l'on en ait envie. |
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Comment
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| Qui vous l'a dit ? |
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Question
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| Qui vous l'a dit ? |
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Question
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| Sans doute, et je l'avais de ses mains arraché, |
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Comment
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| Je l'avais sous mes pieds rencontré par fortune, |
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Comment
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| Et je l'ai laissé choir en cette pâmoison |
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Comment
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| Quand de l'autre à mes yeux s'offrait le sacrifice. |
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Comment
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| Et par mes actions je l'ai trop informé, |
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Comment
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| On ne montre jamais tout ce que l'on ressent. |
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Comment
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| Et voir d'un œil égal, l'un et l'autre mérite : |
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Comment
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| Bien que l'on pût avoir des sentiments tout autres, |
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Comment
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| L'ait souvent demandé pour lui rendre sa place ; |
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Comment
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| Quand vous saurez m'aimer, comme il faut que l'on aime. |
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Comment
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| Dont se puisse indigner celle qui l'a fait naître. |
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Comment
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| Je vois votre pensée, et de quoi l'on m'accuse ; |
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Comment
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| Qu'ai-je dit, après tout, que sans moi l'on ne sache ? |
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Question
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| il suffit bien de l'une, |
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Comment
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| Ôtez donc à vos feux ce…
Méritez les regards que l'on…
Et lorsqu'on vous oblige…
Ne vous obstinez point à… |
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Comment
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| Méritez les regards que l'on… |
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Comment
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| Toutefois dans l'abord agissons doucement, |
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Comment
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| Oui, oui, je l'ai perdu, lorsque dans votre vue, |
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Comment
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| Ôtez donc à vos feux, ce qu'ils en font paraître,
Méritez les regards que l'on jette sur eux ;
Et lorsqu'on vous oblige à vous tenir heureux,
Ne vous obstinez point à ne pas vouloir l'être. |
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Comment
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