Quoi que tu veuilles dire, et que l'on se propose, |
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Ne voudrait pas pour l'un faire injustice à l'autre ; |
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Aux traits, dont à l'abord vous savez les frapper ; |
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L'ayant de près, au nez, longtemps considérée ; |
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Et que l'on veut savoir qui causait cette humeur, |
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Mais il faut maintenant, puisque je l'ai connue, |
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Qui l'aurait jamais cru que cette ardeur si pure, |
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Pour que l'on me trompât, cela se pourrait bien ; |
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Et l'on ne saurait voir, sans en être piqué, |
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Et l'on verra qui rit avec meilleure grâce. |
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Vous mériteriez bien que l'on vous fît attendre : |
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quel bonheur ! Ô toi, qui me l'as apporté |
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Comment
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Enfin, quand j'aime bien, j'aime fort que l'on m'aime. |
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Comment
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Où l'on vous caressait pour la seule grimace ; |
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Comment
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On offense un brave homme alors que l'on l'abuse. |
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Comment
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Et l'on croit jusqu'ici la chaîne fort secrète |
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Comment
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Il l'impute à l'effet d'une haute prudence, |
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Comment
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Nous en tenons tous deux, si l'autre est véritable. |
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il ne l'est que trop, le bourreau détestable. |
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Comment
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Qui masque ainsi mon sexe et l'a rendu mon père ? |
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Question
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Albert ne l'a point su de nous ; et pour sa femme, |
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Comment
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L'ayant plus de douze ans conservé dans son âme, |
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Comment
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Je l'ai dit comme fille, et vous le devez prendre |
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Comment
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Où l'effet de ces mots me sera nécessaire. |
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Comment
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Un cœur ne pèse rien alors que l'on l'affronte ; |
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Comment
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