| Que vous serez toujours, quoi que l'on se propose, |
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Comment
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| Qu'il ne veut point souffrir que l'on le désabuse. |
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Comment
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| Et qui s'évanouit, comme l'on peut savoir, |
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Comment
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| Votre procédé de l'un à l'autre bout. |
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Comment
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| Quiconque vous l'a dit est un lâche, un pendard ; |
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Comment
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| l'avoir chassé, roué de coups ? |
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Question
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| Que l'on trouve toujours plus prompts à dégainer, |
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Comment
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| Je l'ai fait ce matin mort pour l'amour de vous ; |
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Comment
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| Des secrètes raisons qui l'avaient travesti ! |
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Comment
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| Au moins, si l'on vous voit commettre une sottise, |
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Comment
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| S'il ne songeait à lui, que l'on le surprendrait, |
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Comment
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| Que l'on couchait en joue, et de plus d'un endroit, |
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Comment
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| C'est assez, je sais tout : tu me l'as dit deux fois. |
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Comment
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| Qui les aurez vus sains l'un et l'autre en Turquie. |
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Comment
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| Dès l'abord mon esprit a compris tout le fait. |
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Comment
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| Qu'il était fort petit alors qu'il l'a pu voir ; |
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Comment
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| C'est là votre vrai nom, et l'autre est emprunté. |
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Comment
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| Que l'on fît à mon sang, en pareille aventure. |
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Comment
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| Je ne l'ai presque point encore entretenue. |
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Comment
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| Moins gros par l'un des bouts, mais plus que trente gaules |
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Comment
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| L'aurait-on pu prévoir l'action de ce traître ! |
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Comment
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| Il s'est fait un grand vol, par qui, l'on n'en sait rien ; |
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Comment
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| Je l'ai déjà manqué, et même plusieurs coups. |
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Comment
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| Sous ce grotesque habit, qui l'aurait reconnu ? |
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Question
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| Qui ne saurait souffrir que l'on le rende heureux ! |
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Comment
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