| Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, |
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Comment
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| l'on ne peut jamais, vous parler, tête à tête ? |
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Question
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| Vous l'est-on venu dire ? |
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Question
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| Vous l'est-on venu dire ? |
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Question
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| Qu'il ait voulu tenter les choses que l'on dit. |
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Comment
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| Vous ne vouliez point croire, et l'on ne vous croit pas. |
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Comment
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| Et l'on demande l'heure, et l'on bâille vingt fois, |
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Comment
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| Et l'on ne donne Emploi, Charge ni Bénéfice, |
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Comment
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| Et que c'est à sa Table, à qui l'on rend Visite. |
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Comment
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| Des Vices où l'on voit les Humains se répandre. |
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Comment
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| Je suis bien en état que l'on me vienne voir. |
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Comment
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| Si l'on voyait qu'il fût de l'avis de quelqu'un. |
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Comment
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| Et l'on a tort, ici, de nourrir dans votre Âme, |
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Comment
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| Et l'on voit les Amants vanter, toujours, leur Choix : |
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Comment
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| Et l'on veut assoupir la chose, en sa naissance. |
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Comment
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| Et l'on m'a vu pousser, dans le Monde, une Affaire, |
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Comment
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| Il est en bonne forme, et l'on n'y peut rien dire. |
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Comment
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| L'autre ici, fera place au Vainqueur prétendu, |
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Comment
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| En m'apprenant les bruits que de moi l'on publie, |
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Comment
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| En un Lieu, l'autre jour, où je faisais visite, |
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Comment
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| Mamie, et l'on décrète aussi contre les Femmes. |
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Comment
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| Au contraire, Madame, et si l'on était sage, |
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Comment
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| C'est en moi que l'on peut trouver fort à reprendre. |
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Comment
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| Et si l'on continue à m'offrir, chaque jour, |
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Comment
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| Le secret que l'on doit aux affaires d'État, |
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Comment
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