Prince, affranchissez-moi d'une gêne secrète, |
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Mais d'une telle erreur son âme est revenue, |
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Oui, d'un trop grand malheur la surprise me presse, |
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C'est avec d'autres yeux que ne fait la Princesse, |
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D'un trop cuisant ennui je sentirais l'atteinte, |
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Dis-lui, que j'ai d'abord banni de ma présence, |
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Mais d'un aveu trompeur voir ma flamme applaudie, |
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D'une vertu sincère à qui l'on fait outrage : |
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Je choisirai plutôt d'être à la mort qu'à vous ; |
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D'un offre de pardon on emprunte la ruse, |
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D'un éclaircissement qui vous doit condamner ; |
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Qui d'un si prompt succès va goûter la douceur, |
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De Don Alphonse, et d'elle, attend l'heureux retour, |
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Léon a d'autres prix, dont en cette occurrence, |
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Et ce qui d'un tel bruit a fourni le sujet, |
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Qui d'un usurpateur ont hâté le trépas. |
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D'autres soins maintenant occupent ma pensée, |
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D'en Couronner l'objet où le Ciel me renvoie, |
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Mon Frère, d'un tel nom souffrez-moi la douceur, |
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Et quoi que d'un Rival vous inspirent les soins, |
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D'une vingtaine d'ans, à ne nous rien celer, |
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Et d'assez de laideur n'est pas accompagnée, |
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Que d'une serge honnête, elle ait son vêtement, |
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D'un œil à témoigner de n'en être point soûl ? |
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Question
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J'ai le bien d'être de vos voisins, |
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