Je ne fis jamais mieux que d'en prendre l'emploi ; |
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D'abord il a chargé si bien sur les recors, |
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Et que le prompt effet d'une métamorphose, |
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Depuis, par un hasard, d'avec vous séparé, |
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Que d'être auprès de vous tout ce qu'il vous plaira. |
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Il est vrai, d'un bienfait je vous suis redevable, |
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Voilà d'un air galant faire une raillerie ; |
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Qui d'un si mauvais choix se trouverait capable. |
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D'abord leurs scoffions ont volé par la place, |
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J'eusse d'autres clartés que d'en savoir le nom. |
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D'être, grâces à Dieu, ni fourbes, ni rusés : |
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Souvent d'un faux espoir un amant est nourri ; |
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Hé, hé, d'où vous vient donc ce plaisant mouvement ? |
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Question
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Dieu m'en garde, et d'être assez badin |
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À m'acquitter vers toi d'une telle promesse : |
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D'une façon ou d'autre il faut qu'elle soit vôtre ; |
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D'une rare constance. |
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Comment
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D'une rare constance. |
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Que d'avoir un patron jeune et fort amoureux. |
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Mais, d'où, diantre, après tout, avez-vous su la ruse ? |
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Question
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D'un secret mariage a serré le lien. |
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Il l'impute à l'effet d'une haute prudence, |
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D'un soin particulier avait fait des largesses, |
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D'autre part, il vous veut porter au mariage ; |
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Comment
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Mais que, voyant mon père en d'autres sentiments, |
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