Mais prenons une Chaise, afin d'être un peu mieux. |
|
Comment
|
J'ai voulu vous parler en secret, d'une affaire, |
|
Comment
|
Mais d'un trop pur amour mon âme est embrasée, |
|
Comment
|
Ne sont pas, envers vous, l'effet d'aucune haine, |
|
Comment
|
Mais plutôt d'un transport de zèle qui m'entraîne, |
|
Comment
|
Et d'un pur mouvement… |
|
Comment
|
Et d'un pur mouvement… Je le prends bien aussi, |
|
Comment
|
On travaille aujourd'hui, d'un air miraculeux ; |
|
Comment
|
Et d'une ardente amour sentir mon cœur atteint, |
|
Comment
|
D'abord j'appréhendai que cette ardeur secrète |
|
Comment
|
Que si vous contemplez, d'une âme un peu bénigne, |
|
Comment
|
D'autres prendraient cela d'autre façon, peut-être ; |
|
Comment
|
Qui veut du bien d'un autre enrichir votre espoir ; |
|
Comment
|
J'étais en cet endroit, d'où j'ai pu tout entendre ; |
|
Comment
|
D'un incident tout frais, qui vous surprendra fort. |
|
Comment
|
Et Monsieur, d'un beau prix, reconnaît vos tendresses. |
|
Comment
|
Qui diantre tout d'un coup vous en a tant appris ? |
|
Question
|
Elle est d'une humeur douce, et son cœur trop discret |
|
Comment
|
On ne doit d'un Mari traverser le repos ; |
|
Comment
|
Et que d'y revenir, on n'ait jamais l'audace. |
|
Comment
|
Et ne t'ait pas d'abord assommé sur la place. |
|
Comment
|
Aisément, d'un Mari, peut bien surprendre l'âme. |
|
Comment
|
Je ne veux point avoir d'autre héritier que vous ; |
|
Comment
|
Ta forte passion est d'être brave et leste, |
|
Comment
|
N'est-il pas d'un Chrétien, de pardonner l'offense, |
|
Comment
|