Tu ne le crois donc pas, tiens, tiens, voilà mon couteau tout prêt, si tu ne m'ouvres, je m'en vais tout à cette heure m'en donner dans le cœur. |
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Ce visage si propre à donner de l'amour, |
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Allons choisir le jour pour se donner la foi. |
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À donner à vos vœux liberté toute entière ; |
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Et sans scrupule ailleurs donner tous ses suffrages. |
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Me donner de sa flamme un noble témoignage, |
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Qu'à la Comtesse Ignès il va donner la main. |
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Donner à son repos une atteinte mortelle ; |
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Ne voudrait pas donner pour son autre moitié ! |
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Un éclat à donner au Tyran de l'effroi. |
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S'il reste quelque jour encore à vous donner ; |
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Que vous peuvent donner mon cœur, et ma naissance, |
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Ne s'offre à m'en donner une pleine lumière, |
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Comment
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Que vous donner un cœur qui ne se donne pas. |
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Mon roi sans me gêner peut me donner à vous. |
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Donner le dernier coup au parti des Tyrans. |
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Des gens à qui l'on peut donner quelque crédit : |
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Comment
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Et que c'est vous donner des soucis superflus ; |
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Comment
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Est venu me donner un bonjour surprenant. |
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Comment
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Lui voulez-vous donner à croire que c'est moi, |
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Comment
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Que vient de te donner cette farouche bête. |
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De me donner la main dans huit jours au plus tard, |
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Comment
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Vous venez, dites-vous, pour lui donner la main ? |
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Question
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Adieu : Je frappe ici, pour donner le bonjour, |
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Comment
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Apprends, Marquis, je te prie, et les autres aussi, que le bon sens n'a point de place déterminée à la Comédie ; que la différence du demi-Louis d'or, et de la pièce de quinze sols, ne fait rien du tout au bon goût ; que debout et assis on peut donner un mauvais jugement ; et qu'enfin, à le prendre en général, je me fierais assez à l'approbation du Parterre, par la raison qu'entre ceux qui le composent, il y en a plusieurs qui sont capables de juger d'une pièce selon les règles, et que les autres en jugent par la bonne façon d'en juger, qui est de se laisser prendre aux choses, et de n'avoir ni prévention aveugle, ni complaisance affectée, ni délicatesse ridicule. |
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Comment
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