S'ils partent d'un amour qui déplaise à nos yeux. |
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Comment
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Mais avec tout cela, s'il pousse mon courroux, |
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S'il ne purge ses feux de leurs transports jaloux, |
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Et c'est à s'en dédire autoriser nos vœux, |
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Comment
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Je ne dis point quel choix, s'il m'était volontaire, |
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Comment
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Et s'il est vrai pour moi, que votre amour soit grand, |
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Comment
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S'il faut qu'en cette humeur votre esprit l'entretienne ? |
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Question
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Et quand, charmante Élise, a-t-on vu s'il vous plaît, |
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Comment
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À voir de tous côtés, s'il ne se passe rien, |
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Comment
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S'en saisir promptement, avant qu'il eût rien lu ; |
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Comment
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S'il n'avait point frémi des coups de cette foudre, |
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Comment
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Et s'il vous a fait voir par une erreur insigne |
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S'il n'est point de pardon que je doive espérer, |
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Comment
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Mais que s'il n'en est point qui davantage irrite, |
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Comment
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Oui, Madame, mon cœur doit cesser de s'en plaindre, |
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Comment
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Et que s'ils sont suivis, la fortune prépare |
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Vous-même, dites-vous s'il est de l'équité, |
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Et mes pas en ce lieu, s'il faut que je le die, |
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Comment
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Si votre cœur sur moi s'est cru quelque pouvoir ; |
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Comment
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S'est-elle à votre avis assez bien expliquée ? |
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Question
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S'il reste quelque jour encore à vous donner ; |
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Comment
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S'il n'obtient par vos soins un moment d'entretien, |
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Comment
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S'il fait qu'à notre humeur la sienne s'accommode, |
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Comment
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Mon cœur n'aurait eu droit de s'en prendre qu'au sort. |
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Comment
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Est celui qui s'en fait l'ennemi le plus grand. |
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Comment
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