| Un homme l'emmenait, qui s'est trouvé fort sot. |
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Comment
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| Et s'il poursuit encore à rompre notre chance, |
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Comment
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| Courage, s'il s'y peut enferrer tout de bon, |
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Comment
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| Qui ne s'y fût trompé ? |
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Question
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| S'il m'avait soutenu des faussetés pareilles. |
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Comment
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| S'il n'était pas garant de tout ce qu'il m'a dit. |
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Comment
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| S'il ne tient qu'à cela, je n'y résiste pas ; |
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Comment
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| Qu'à tirer un teston, s'il fallait le donner. |
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Comment
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| Qui s'en va, m'a-t-il dit, rompre cette partie, |
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Comment
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| S'il faut pour l'obtenir que tes genoux j'embrasse, |
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Comment
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| S'il ne songeait à lui, que l'on le surprendrait, |
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Comment
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| Que s'il le trouvait bon, je n'aurais d'autre envie, |
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Comment
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| S'il allait de son fils me demander la mine ? |
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Question
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| Il est vrai ; mais dis-moi, s'il connaît qu'il m'a vu, |
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Comment
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| Qui, s'ils eussent osé, vous eussent fait querelle : |
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Comment
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| s'il faut qu'on vous affronte ; |
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Comment
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| S'en vient nous enlever tout l'espoir qui nous reste : |
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Comment
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| Il s'est fait un grand vol, par qui, l'on n'en sait rien ; |
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Comment
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| Nul que moi ne s'y tient, et j'en garde la clé. |
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Comment
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| S'il être son fame, ou s'il être son sœur ? |
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Question
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| S'il fallait le payer aux dépens de mon cœur ; |
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Comment
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| Oui, s'il ne peut avoir plus de place en mon âme, |
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Comment
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| L'inconstance de ceux qui s'en laissent surprendre, |
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Comment
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| Vous m'avez dit que votre amour
Était capable de tout faire,
Il se couronnera lui-même dans ce jour,
S'il peut avoir l'aveu d'un père. |
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Comment
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| S'il peut avoir l'aveu d'un père. |
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Comment
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