En une autre saison, cette naïveté, |
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en saison si bien prise, |
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Plût à Dieu que ma sœur… Ce n'est pas la saison |
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c'en est fait, il n'est plus de saison, |
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Et que cela n'est plus de saison ce me semble. |
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C'est bien fait : la prudence est toujours de saison : |
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La brutalité de la saison a furieusement outragé la délicatesse de ma voix ; mais il n'importe, c'est à la Cavalière. |
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Ne me condamnez point d'un deuil hors de saison, |
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Et si l'on dit, que la plus grande de toutes les folies, est celle de se marier, je ne vois rien de plus mal à propos, que de la faire, cette folie, dans la Saison où nous devons être plus sages. |
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Pour une autre saison, laissons tout ce débat, |
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Mon dessein… Ces discours ne sont plus de saison, |
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Que le Chagrin, contre eux, est toujours de Saison, |
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Il est une Saison pour la Galanterie, |
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que cette Instance est là, hors de Saison : |
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Ah tu me fais mourir, par tes leçons hors de saison. |
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Les ressentiments de saison. |
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En attendant qu'il vienne, nous pouvons jouir du divertissement de la Saison, et faire entrer les Masques que le bruit des Noces de Monsieur de Pourceaugnac a attirés ici de tous les endroits de la Ville. |
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Tous les refus ici ne sont pas de saison ; |
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Dom Jouan, mes avis seront-ils de saison ? |
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Question
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Mais aussi je sais bien que dans cette saison, |
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Ne sont pas de saison. |
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Ne sont pas de saison. |
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Mais que dans celui dont vous touchez la saison, |
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Vos discours effrontés ne sont pas de saison, |
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Cependant, dans le temps qu'il en était saison, |
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