Qui m'a fait par vos soins remettre à la maison. |
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À de fâcheux combats, Élise, m'a réduite. |
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J'en trahissais les soins, sans m'en apercevoir. |
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de m'y soustraire ; |
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Je ne dis point quel choix, s'il m'était volontaire, |
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Vous vous obstineriez à m'en faire jurer. |
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Oui, je m'en réjouis, et pour vous, et pour moi. |
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Et m'en remercier, comme d'une victoire, |
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Je chéris tendrement ce…
Pour me tirer des mains de…
Son amour, ses devoirs…
Mais il m'est odieux, avec… |
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Mais il m'est odieux, avec… |
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Sans avoir vu le reste, il m'est assez facile |
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Je chéris tendrement ce qu'a fait Don Garcie,
Pour me tirer des mains de nos fiers ravisseurs,
Son amour, ses devoirs ont pour moi des douceurs ;
Mais il m'est odieux avec sa jalousie. |
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Mais il m'est odieux avec sa jalousie. |
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Hé bien, je suis coupable, et ne m'en défends pas, |
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Non, ne m'en parlez point, vous méritez ma haine. |
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Ne m'en fais plus. |
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Ne m'en fais plus. |
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Vos paroles, Seigneur, m'en ont trop fait savoir, |
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Ce qui m'est un sujet d'éternelle torture, |
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De l'espoir glorieux dont je m'étais flatté ; |
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Quels secrets de votre âme on m'a su déclarer, |
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Qui ne m'ait arraché pour elle des soupirs ; |
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Quoi que vous soupçonniez, il m'importe si peu, |
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Songez que votre bras, Comte, m'est nécessaire ; |
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Mais comme trop d'ardeur, enfin, m'avait séduit, |
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