Dieux, donnez-moi la mort que mon coeur vous demande. |
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Faites partout savoir la mort du Gouverneur, |
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De l'affront de la fille, et de la mort du père ; |
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Je suis mort. |
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À quel point cette mort nous doit être sensible : |
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Ainsi donc de sa mort, sans dire d'autres choses, |
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Mon père est mort, voyez Amarille mourante. |
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La mort que dans le sein mon bras va lui porter. |
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Carrille, j'ai du coeur pour me donner la mort. |
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Ah, mort ! |
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Ah, mort ! |
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Tu sais bien que Dom Pierre est mort, et par ma main. |
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De vous livrer ici l'assassin vif, ou mort. |
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Pour nous faire acheter bien chèrement sa mort. |
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J'entendis dire, hélas ! «Dom Alvaros est mort ; |
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Mon père est mort. |
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Comment
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Oui, votre père, il est mort. |
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Comment
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Oui, votre père, il est mort. |
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Mon père est mort ! À ce coup je connais |
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Comment
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Dis-moi, n'as-tu point su comme arriva sa mort ? |
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Question
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mon père est mort, |
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Comment
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Pourquoi croit-on qu'il soit ainsi mort de regret ? |
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Question
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Compagnons, mort ou vif, il nous les faut avoir. |
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Comment
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Et qu'il est mort enfin d'un violent courroux. |
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Il ne serait pas mort, s'il n'eût été bizarre. |
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