| Oui, les choses s'acheminent où nous voulons : Et comme ses lumières sont fort petites, et son sens le plus borné du monde, je lui ai fait prendre une frayeur si grande de la sévérité de la Justice de ce Pays, et des apprêts qu'on faisait déjà pour sa mort, qu'il veut prendre la fuite ; et pour se dérober avec plus de facilité aux Gens que je lui ai dit qu'on avait mis pour l'arrêter aux Portes de la Ville, il s'est résolu à se déguiser, et le déguisement qu'il a pris est l'habit d'une Femme. |
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Comment
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| Ce n'est pas tant la peur de la mort qui me fait fuir, que de ce qu'il est fâcheux à un Gentilhomme d'être pendu, et qu'une preuve comme celle-là ferait tort à nos Titres de Noblesse. |
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| je suis mort. |
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| Ô mort, devais-tu prendre un dard si criminel, |
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| Qui force un Immortel à souhaiter la mort. |
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| Si tu ne me secours, ma mort est trop certaine. |
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| Eh ventrebleu, s'il y a ici quelque chose de vilain, ce ne sont point mes jurements, ce sont vos actions, et il vaudrait bien mieux que vous jurassiez, vous, la tête, la mort et la sang, que de faire ce que vous faites avec Monsieur le Vicomte. |
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Comment
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| Ma mort en éteindra la funeste mémoire. |
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| Mais de sa main aussi j'aurais reçu la mort ; |
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| Tu me suivras partout, ou la mort à l'instant |
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| On voit de tous cotés la mort devant les yeux, |
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| Est celui maintenant qui me donne la mort. |
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| La mort, qui n'est jamais courtoise ni civile, |
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| Tous les tourments offerts, la mort la plus cruelle |
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| accordez la mort à mes justes souhaits. |
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| Si Madame la Mort au coeur impitoyable |
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| Ah, que ne suis-je mort ! |
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| Oui, dieux, humains, démons, la mort a la puissance |
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| Mon père est mort ! |
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| Mon père est mort ! |
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| Je veux chercher la mort dans mon affliction, |
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| Ayez pitié de moi, Monsieur, car je suis mort ; |
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| Qui, vous donnant la mort, m'a rendu misérable, |
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Comment
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| Dans ce coup malheureux, de sa mort est complice, |
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| Il ne faut plus languir, la mort seule est mon choix, |
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Comment
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